Par Charles Krauthammer - Jewish World Review - Adaptation française de Simon Pilczer, volontaire de l’IHC
samedi 29 juillet 2006
La moralité scrupuleuse d’Israël se paie dans le sang - et pourtant les Israéliens sont encore personnifiés comme l’incarnation du mal
Quel autre pays, attaqué lors d’une agression non provoquée à travers une frontière internationalement reconnue, est ensuite placé par le monde devant un compte à rebours, avec une plage de temps limitée pour répliquer, sans considérer s’il a restauré sa propre sécurité ?
Quel autre pays supporte des attaques indiscriminées de 1500 roquettes sur ses villes - dont chacune est conçue pour tuer, estropier et terroriser des civils - et est ensuite diffamé par le monde quand il tente de détruire l’infrastructure et les places fortes de l’ennemi, avec des armes à guidage de précision, qui ont parfois pour conséquence inattendue mais inévitable la mort et la souffrance collatérales de civils ?
Entendre le monde poser un jugement sur la guerre entre israël et le Hezbollah pendant qu’elle se déploie, c’est vivre dans un univers moral orwellien. Avec quelques exceptions significatives (le gouvernement des Etats Unis, la Grande Bretagne, l’Australie, le Canada et très peu d’autres), - le monde - gouvernements, médias, bureaucrates de l’ONU - a complètement perdu ses fondements moraux.
Le monde qui évite toute réflexion et transforme magiquement la victime en agresseur est "disproportionné", comme la "réponse israélienne disproportionnée" universellement décriée.
Quand les Etats Unis ont été attaqués à Pearl Harbor, ils n’ont pas répliqué par une attaque parallèle "proportionnée" contre une base navale japonaise. Ils ont lancé une campagne de quatre années qui a tué des millions de Japonais, réduit Tokyo, Hiroshima et Nagasaki en cendres, et transformé les îles de l’archipel japonais en décombres et en ruines. Disproportionné ? Non.Quand on est attaqué sans raison par un agresseur, on a parfaitement le droit - légalement et moralement - de combattre jusqu’à ce que l’agresseur soit désarmé et rendu si impuissant qu’il ne puisse plus menacer encore la sécurité de l’agressé. c’est ce qui est arrivé avec le Japon.
La Grande Bretagne n’a jamais été envahie par l’Allemagne pendant la seconde guerre mondiale. A-t-elle répondu au blitz et aux missiles V1 et V2 par des bombardements aériens "proportionnés" de l’Allemagne ? Bien sûr que non. Churchill a orchestré la plus vaste invasion terrestre de l’histoire qui a aplati et sévèrement détruit l’Allemagne, tuant au passage un nombre jamais rapporté de femmes et d’enfants innocents.
La perversité de la réprobation internationale actuelle repose sur le fait qu’il existe en effet une disproportion dans cette guerre, une asymétrie morale radicale entre le Hezbollah et Israël : le Hezbollah tente délibérément de provoquer des victimes civiles des deux côtés avec Israël, alors qu’Israël essaie délibérément de minimiser les victimes civiles, également des deux côtés.
Au cours de la campagne terroriste peut-être la plus honteuse depuis le blitz sur Londres, le Hezbollah fait pleuvoir des roquettes sur les villes et les villages israéliens. Ces roquettes sont constituées de matériaux de balles pouvant pénétrer les automobiles et déchiqueter la chair humaine. Elles sont conçues pour tuer et estropier. Et elles le font.
Mais c’est une double campagne. Des innocents israéliens doivent mourir de manière à terroriser Israël. Mais des innocents libanais doivent aussi mourir de manière à diaboliser Israël, raison pour laquelle le Hezbollah cache ses combattants, ses roquettes, ses lanceurs, toute son infrastructure parmi des civils. Produire des boucliers humains est un crime de guerre. C’est aussi une spécialité du Hezbollah.
Mercredi, des caméras de CNN ont montré des destructions à Tyr. Quest-ce que Israël a contre Tyr et ses habitants ? Rien. Mais les roquettes à longue portée du Hezbollah qui ont fait pleuvoir la terreur sur Haîfa sont basées à Tyr. Que doit faire Israël ? Laisser intacts les sites de lancement qui sont délibérément placés dans des zones d’habitations ?
Si Israël avait voulu détruire l’infrastructure civile libanaise, il aurait éteint les lumières de Beyrouth dès la première heure de la guerre, en détruisant le réseau électrique national d’un milliard de dollars, et en renvoyant le Liban 20 ans en arrière. Au lieu de cela, il a attaqué des infrastructures à double usage - des ponts, des routes, les pistes de l’aéroport - et bloqué les ports du Liban pour empêcher le renforcement et le réapprovisionnement du Hezbollah. Dix mille roquettes Katioushas, cela suffit. Israël n’allait pas en autoriser 10.000 de plus au Hezbollah.
La réponse d’Israël au hezbollah a été d’utiliser l’armement et le ciblage les plus précis possibles. Israël n’a aucun intérêt, ni aucun désir de tuer des civils libanais. Personne n’imagine-t-il que cela aurait pu soulever le Sud Liban, pour ne rien dire de Beyrouth ? A la place, dans le combat amer contre le Hezbollah au Sud Liban, Israël a lancé à plusieurs reprises des prospectus, émis des avertissements, envoyé des messages par radio et même des textes par téléphone aux villageois libanais, pour qu’ils évacuent de manière à ne subir aucun mal .
Israël sait que ces prospectus et ces avertissements donnent aux combattants du Hezbollah le temps de s’échapper et de se regrouper. La notification anticipée sur le lieu de la prochaine attaque a permis au Hezbollah de préparer des guet-apens élaborés.. Résultat ? Un nombre de victimes anormalement élevé dans l’infanterie israélienne. La moralité scrupuleuse se paie dans le sang. Des soldats israéliens meurent pour que des civils libanais vivent, et qui condamne la communauté internationale pour ne pas respecter la vie des civils ?
Commentaire En fait, il s'avère que les juifs, éternelles victimes jusqu'à la fin des temps ont un mental programmé à l'inverse des Gentils, autrement dit, l'Humanité. Ce qui est donc très grave dans cette histoire, c'est que Gentils et Juifs se tiennent de chaque côté d'une ligne au centre de laquelle sont les MOTS et leurs CONCEPTS sous-jacents et pour chacune des deux races (gentille et juive) le même mot avec son concept signifie l'exact opposé. De cette manière extrêmement pernicieuse et tordue, on était sûr d'embarquer les Gentils sur des mots dont l'application dissimulerait l'exact opposé de sa définition première, Gentille, à l'origine.
Et voilà à quel type de texte on arrive : le juif se sacrifie, il est l'éternelle victime. Israel a une moralité scrupuleuse et tutti quanti..
Les juifs ne sont pas des victimes. Ce sont des individus particulièrement agressifs et haineux, haineux de tout ce qui n'est pas juif. Ils sont totalement fanatisés et il est impossible de leur faire entendre raison ni d'avoir une vraie discussion avec eux pour la simple et bonne raison que leur mental fonctionne à l'opposé du vôtre.
Le lien de cette vidéo m'a été envoyé à l'instant par Marc un de mes lecteurs que je remercie. Comme je remercie tous ceux qui m'envoient des infos et des liens, ce qui m'aide beaucoup dans la collecte d'informations.
Concernant David Cole, j'avais déjà posté ses vidéos mais en anglais, celle - ci est sous-titrée en français.
Il faut aussi savoir que DAVID COLE a été obligé de se retracter par écrit sur la totalité de son travail à cause de menaces de mort qu'il a eues sur lui et sur sa famille.
J'ai déjà évoqué le dossier Aspartame mais là, je me devais d'y revenir. En effet il est toujours intéressant de regarder certaines émissions grand public pour constater comment l'information est véhiculée.
Alors au menu du jour, l'Aspartame dans l'émission "Mon Bien-Être" sur Direct 8. Emission dans laquelle officie le médecin nutritionniste Jean-Michel Cohen.
Je vous propose d'écouter à partir de la 20' pendant environ 5 à 7'.
Et ensuite, les documents ci-dessous qui sont en totale contradiction avec ce qui est affirmé dans cette première vidéo.
Un chapitre de "la diététique du tao " est consacré au sucre (blanc), sa consommation excessive et ses conséquences pernicieuses sur notre santé. Beaucoup de gens, conscient de ses méfaits, consomme alors nombre de produits allégés, étiquettés "sans sucre" et contenant de l'aspartame. Hélas, il semble que le remède soit bien pire que le mal et des voix de plus en plus nombreuses tirent la sonnette d'alarme quant aux effets devastateurs de cette molécule chimique (en fait un neurotoxique puissant !).
Nous vous invitons pour en savoir plus à consulter les liens en bas de page et ne pas hésiter à témoigner et demander de l'information à l'adresse : missionpossible.france@wanadoo.fr
Ces produits sont actuellement consommés par des millions de personnes !!!
ASPARTAME : UN POISON VIOLENT !
Quel est le point commun entre des milliers de rats sacrifiés, des mensonges, une migraine, une personne obèse, dépressive ou aveugle, un paranoïaque, le groupe Monsanto et des milliers de produits " sans sucre " ? L'aspartame…
Voici donc le meurtrier en série enfin dévoilé, dont nous sommes les victimes en France depuis presque 30 ans et ce, dans le plus grand secret ! Je m'intéresse aux effets secondaires nocifs pour la santé des additifs alimentaires, depuis plus de dix ans mais, pour ce qui est de l'aspartame, ce n'est qu'il y a 18 mois que j'ai découvert la terrible vérité sur ce poison. J'ai alors réalisé que j'avais perdu deux personnes de ma famille, toutes deux grosses consommatrices de produits " sans sucre ". En poursuivant mes recherches, j'ai découvert l'association de bénévoles créée aux Etats-Unis en 1995 par le Dr Betty Martini : Mission Possible International (www.dorway.com) que je représente maintenant en France. Depuis, j'ai d'abord pu aider des personnes par Internet au Canada, en Australie, en Angleterre et aux Etats-Unis. Puis, peu à peu, j'ai rencontré de nombreuses victimes de l'aspartame en France, des personnes innocentes qui souffraient, sans le savoir, de plusieurs des 92 effets secondaires liés à l'aspartame et officiellement reconnus par la FDA (Food and Drug Administration) américaine depuis 1995. Au total, en 18 mois, j'ai rencontré près de 1 200 d'entre elles, âgées entre 3 et 92 ans et, fait inquiétant, dans un seul département du territoire français…
C'est pour cela qu'il y a urgence à faire passer le message !
Il y en a partout !
Mais qu'est ce que l'aspartame ? Pour la plupart des gens, c'est tout simplement un édulcorant de synthèse pour remplacer le sucre, que des millions de femmes en surpoids et de diabétiques utilisent dans le monde entier sous forme de poudre ou de sucrettes, il est inutile de vous en citer des marques car vous les connaissez toutes ! Seulement voilà : il n'y en a pas que dans ses fameuses sucrettes ! L'aspartame est aussi présent dans plus de 5 000 produits alimentaires ou pharmaceutiques, dans 90 pays au monde et ce depuis plus de 25 ans… Des millions de Français en consomment tous les jours (adultes et enfants confondus), il y a même au moins une maternité en France où l'on a fait prendre des suppléments de calcium à l'aspartame aux nouvelles mamans afin de favoriser la montée de lait et depuis au moins 25 ans ! Au total, il y aurait au moins 250 millions de personnes dans le monde qui consommeraient chaque jour des produits à l'aspartame ! Et cet édulcorant rapporterait aux industriels mondiaux plus d'un milliard de dollars par an !
Je vous entends déjà me dire : " Mais vous n'y pensez pas ! Si c'est marqué sur les étiquettes, c'est que cela a été testé et autorisé par les autorités, c'est donc sans danger, sinon on le saurait ! Regardez ce qu'il y a marqué sur le dos de mon paquet de chewing-gums sans sucres : 'En complément du brossage, l'Union française pour la santé bucco-dentaire recommande ce chewing-gum sans sucre, qui participe efficacement à la santé bucco-dentaire', alors quel est le problème ? ".
J'aurais bien envie de vous répondre : " Et si on vous avait menti ? ".
En fait, selon des experts indépendants, l'aspartame est un véritable poison ! Seulement voilà, alors que l'on en parle publiquement depuis plus de vingt ans aux Etats-Unis, le public français lui, a été gardé dans l'ignorance la plus totale depuis 1974. De ce fait, avec certains autres pays d'Europe, nous représentons aujourd'hui les plus gros consommateurs de produits à l'aspartame au monde !
De la triste famille des excitotoxines
Comme je le fais souvent remarquer aux personnes que je rencontre, lorsqu'elles font le plein de leur voiture, elles font bien attention au type d'essence qu'il faut mettre dans le réservoir, sinon la voiture aura des problèmes. Pour ce qui est de la nourriture, ces mêmes personnes ne prennent même pas la peine de lire la liste des ingrédients sur les emballages et, sans méfiance, elles remplissent leur estomac d'un cocktail de produits chimiques en toute ignorance, même la voiture n'en voudrait pas ! L'aspartame est un de ces produits chimiques les plus toxiques pour la santé !
L'aspartame (E 951) fait partie de la triste famille des excitotoxines, tout comme le glutamate monosodique (E 621 ou GMS), cousin chimique de l'aspartame largement utilisé depuis au moins 1948 qui lui, est un " poison caméléon " qui se cache sous divers noms tels que : arômes artificiels et parfois naturels, certaines épices, extrait de levure, huile végétale hydrogénée, extrait de protéines de soja, souvent utilisé comme exhausteur de goût dans des chips, des soupes en sachets, des sauces, des plats préparés, de nombreux aliments surgelés et de régime, des bâtonnets de " crabe "… (voir article sur les excitotoxines en page xx). Ces excitotoxines sont neurotoxiques, c'est-à-dire qu'elles ont la triste capacité de détruire rapidement les neurones de notre cerveau (voir dessin) en les excitant jusqu'à ce qu'ils explosent comme l'a expliqué l'éminent neurochirurgien et nutritionniste américain, le Dr Russell Blaylock dans son livre : " Excitotoxins, The Taste that Kills " en 1994 (" Excitotoxines : le goût qui tue "), livre sur l'aspartame et le GMS qui sera peut-être bientôt traduit en français). Mais comme cela se fait peu à peu, au fur et à mesure de notre consommation de produits édulcorés à l'aspartame (boissons, sodas, jus d'orange, yaourts en pots ou encore à boire, gommes à mâcher, sucettes, bonbons divers, édulcorants de table, certains chocolats, produits de régimes, certaines confitures, céréales, suppléments de vitamines, des centaines de médicaments, au total plus de 5 000 produits dont la liste est impossible à faire…), on ne s'en rend pas compte tout de suite car ce véritable poison s'accumule dans notre organisme à notre insu, détruisant notre système immunitaire (au bout de deux heures !) et endommageant notre ADN sur son passage… Ah ! Si on nous l'avait dit !
Mais en réalité, il y a 92 effets secondaires officiellement reconnus depuis 1995 par la FDA aux Etats-Unis. En France, à part un risque de diarrhées, tout va bien ! Un peu comme un " certain nuage " de Tchernobyl qui ne serait pas passé au-dessus de notre beau pays…
Certaines personnes assez sensibles ont de la chance et souffrent très rapidement (dans les minutes ou les heures qui suivent) de maux de tête ou de nausées, après avoir consommé un seul produit contenant de l'aspartame, et comme elles sont à l'écoute de leur corps, elles en déduisent que ces produits ne sont pas bons pour elles. Alors elles savent les éviter. Par contre d'autres personnes, elles, deviennent très rapidement dépendantes de ces produits en pensant éviter les calories et " faire attention à leur ligne " ou au bien-être de leur enfants…
Ces mêmes personnes vont voir leur santé se dégrader plus ou moins rapidement et souffrir d'un ou de plusieurs des nombreux effets secondaires, tout en ignorant complètement que c'est l'aspartame qui est à l'origine de leurs problèmes. Elles iront donc consulter leur médecin ou parfois même leur psychiatre qui, comme elles, n'étant pas forcement au courant de la toxicité de l'aspartame, va prescrire des médicaments qui eux aussi contiennent souvent le même poison… L'effet " boule de neige " commence alors, car l'aspartame interagit avec ces médicaments et les personnes peuvent parfois en mourir après quelques semaines ou quelques années !
Quelques-uns des 92 effets secondaires
Avant de voir de quoi est fait l'aspartame, voyons quelques-uns des 92 symptômes :
maux de tête, insomnies, fatigue chronique, cernes grises sous les yeux, baisse et troubles de la vue, réactions cutanées plus ou moins graves, rougeurs au visage, démangeaisons, prise de poids, dépression, chute plus ou moins importante des cheveux, faim et soif excessives, douleurs abdominales, ballonnements, diarrhées, douleurs articulaires, crampes, insomnies, pertes de mémoire, saignements de nez, vertiges, forte sensibilité aux bruits, sensation d'avoir froid même en plein été, problèmes menstruels, impuissance, problèmes sexuels, hyperventilation, attaques et convulsions, épilepsie, nausées, vomissements, hypo et hyperglycémies, baisse de l'intelligence, douleurs dans la poitrine, problèmes de thyroïde, tremblements, douleurs en avalant ou aussi en urinant, sensibilité aux infections, hypertension, asthme… Mais aussi troubles de la personnalité comme : soudaines crises d'agressivité parfois avec violences physiques, paranoïa, agoraphobie, phobies, paniques, sensations de " déjà vu ", irritabilité, crises de démence, altération du caractère, difficulté de concentration, confusion, hyperactivité…
Et, plus grave, cancer du cerveau, rupture d'anévrisme, problèmes cardiaques, attaques d'apoplexie, et même mort ! De plus, l'aspartame provoque des symptômes semblables aux maladies suivantes ou les aggrave : fibromyalgie, arthrite, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, lupus, diabète et complications diabétiques, épilepsie, maladie d'Alzheimer, lymphome, malformations congénitales, syndrome de fatigue chronique.
Quelle est la composition de l'aspartame ?
50 % de phénylalanine, toujours indiquée sur les étiquettes pour les " 2 % " de la population qui pourraient y être allergiques. On peut donc lire en tout petit : " Contient une source de phénylalanine ", de la DKP (dikétopipérazine), produit dérivé de la phénylalanine qui se développe après de longues périodes de stockage et qui a été impliqué dans l'apparition de tumeurs au cerveau, 40 % d'acide aspartique, produit hautement dangereux pour le cerveau : l'espèce humaine est cinq fois plus sensible à cet acide (et à l'acide glutamique trouvé dans le E 621) que les rats et vingt fois plus sensible que les singes ! Cet acide a la mauvaise habitude de s'accumuler dans notre organisme, d'affecter notre cerveau (c'est un neurotoxique), notre système reproductif, il traverse aussi le placenta et peut atteindre le cerveau du fœtus. A forte dose, cet acide peut provoquer des crises d'angoisse, de l'hyperactivité ainsi que des obsessions. Pour finir, les 10 % restants sont constitués de méthanol (ou alcool de bois), un poison mortel qui est graduellement libéré par l'intestin grêle à partir d'une température de 30 degrés lors du stockage, de la cuisson (qui a eu cette idée folle de faire un gâteau à l'aspartame ?), ou tout simplement dans le corps humain ! Ce poison s'accumule petit à petit et provoque en général des troubles de la vue tels que vision embrumée, voilée ou obscurcie, double vision, rétrécissement du champ visuel, dommages rétiniens et perte de la vue…
Les autres symptômes d'un empoisonnement au méthanol sont en général des maux de tête, des bourdonnements d'oreille, des troubles gastro-intestinaux, des faiblesses, vertiges, frissons, trous de mémoire, douleurs fulgurantes aux extrémités, des troubles du comportement et des névrites… Ce méthanol, une fois arrivé dans le foie, est converti en formaldéhyde qui est hautement neurotoxique et cancérigène pouvant provoquer à son tour des troubles de la vue, des malformations congénitales, des migraines, des vertiges, des nausées, des malaises, une mauvaise concentration et empêche aussi l'ADN de se reproduire. Pour terminer, le formaldéhyde, une fois ingéré, se transforme à son tour en acide formique qui se concentre dans le cerveau, les reins et d'autres organes. C'est un produit très dangereux pour les cellules. Pour les connaisseurs, voir le dessin de la structure chimique de l'aspartame.
Un résumé de la lugubre histoire de l'aspartame…
1965 : dans les laboratoires de GD Searle, un chimiste découvre par accident l'aspartame tout en travaillant sur un médicament pour soigner les ulcères. Cette substance est 180 fois plus sucrée que le sucre, sans être calorique, quel rêve pour les industriels ! 1967 : les premières expériences sont faites sur des singes et montrent déjà de grands risques de malaises, d'épilepsie et de mort.
1971 : le Dr John Olney, professeur de neuropathologie et de psychiatrie, ayant déjà démontré la dangerosité de glutamate monosodique, parvient à prouver que l'acide aspartique (composant de l'aspartame) provoque des trous dans le cerveau de jeunes souris !
1973 : Searle présente au FDA une centaine d'études où les tumeurs du cerveau observées chez les singes et des souris sont " oubliées ".
1974 : le 26 juillet, la FDA autorise l'aspartame comme additif, uniquement dans les aliments secs, malgré le manque d'études plus approfondies sur les résultats de Searle. Certaines personnes commencent alors à en consommer en France alors que la FDA met en suspens la mise sur le marché de l'aspartame. Toute une série de rapports et de personnes manipulées avec beaucoup d'argent a suivi, même Donald Rumsfeld ; aujourd'hui secrétaire à la défense aux Etats-Unis, s'en est mêlé dés 1977 et a joué un rôle capital pour imposer l'aspartame sur le marché en 1981…
1979 : malgré des rapports très inquiétants au sujet de la toxicité du méthanol, soit 10 % de l'aspartame, considéré comme un poison mortel depuis 1978, l'aspartame est alors introduit dans certains produits pharmaceutiques en France !
1980 : les sucrettes à base d'aspartame sont en vente dans toute l'Europe, sauf en Angleterre… 1981 : l'aspartame est autorisé dans certains produits alimentaires sous forme de poudre, dans les chewing-gums, les édulcorants de table (Nutrasweet aux Etats-Unis), des céréales, certains desserts, et cafés instantanés.
1983 : l'aspartame est autorisé dans les boissons gazeuses aux Etats-Unis puis en Angleterre. 1984 : la FDA autorise l'aspartame dans les suppléments de vitamines et en juillet une étude faite par The Journal of Applied Nutrition montre qu'à des températures élevées, l'aspartame se transforme plus rapidement en méthanol (peut-être est-ce là la raison de la mention sur les bouteilles " Servir très frais ").
1985 : le 1er octobre, Monsanto, le célèbre producteur d'hormones bovines, d'OGM et de pesticides comme le Round Up, achète Searle pour 2,7 milliards de dollars. Par la suite, l'aspartame est utilisé dans de plus en plus de produits, malgré les milliers de plaintes des consommateurs américains, les rapports se succèdent mais rien en France…
1995 : le Dr Betty Martini crée aux Etats-Unis Mission Possible International.
1997 : sortie du livre du Dr Russell Blaylock, " Excitotoxins : The Taste That Kills ".
1998 : Monsanto voudrait faire approuver le Néotame comme nouvel édulcorant ; 60 fois plus doux que l'aspartame et jusqu'à 13 000 fois plus doux que le sucre, autre produit chimique peu étudié et suspecté d'être aussi neurotoxique. En mai, une étude indépendante faite par l'université de Barcelone prouve encore la toxicité de l'aspartame mais on l'oublie vite… Et en octobre, on se rend compte que même certaines boissons autres que " light ", " free " ou " sans sucre " contiennent aussi de l'aspartame car il coûte trois fois moins cher que le sucre. Il faut alors lire toutes les étiquettes !
2000 : Monsanto revend Nutrasweet à un groupe d'anciens directeurs de Monsanto (440 millions de dollars) et revend ses intérêts à Nutrasweet AG et Euro Aspartame (qui a même une usine dans le nord de la France). Depuis, cet additif n'a pas cessé d'être le plus controversé au monde.
2001 : sortie du plus gros livre sur l'aspartame du Dr H.J. Roberts, contenant plus de 1 000 pages : " Aspartame Disease : An Ignored Epidemic ", contenant des centaines de témoignages et bouleversant.
2002 : le 9 juillet, le Néotame est autorisé dans certains pays.
2004 : en mai, un documentaire sur les effets secondaires de l'aspartame et du glutamate monosodique sort en DVD : " Sweet Misery : A Poisoned World ", un documentaire extraordinaire réalisé par une victime de l'aspartame qui était atteinte de sclérose en plaques et qui avait douze taches dans le cerveau de différentes tailles, c'était en février 2002. Une fois désintoxiquée (il y a sept cliniques de désintoxication dans le monde mais aucune en Europe), cette personne a perdu 34 kilos, a quitté son fauteuil roulant et n'a presque plus de taches dans le cerveau. La mise officielle sur le marché de ce DVD (voir encadré) est prévue pour décembre 2005. Ensuite suivra un autre documentaire dont le titre sera : " Sweet Remedy ". A suivre…
2005 : une étude italienne de l'Institut de Ramazzini de Bologne prouve que l'aspartame provoque des leucémies et des lymphomes, mais cela ne fait toujours pas les grands titres en France. Pendant qu'un magnifique article de 12 pages y a été consacré dans le magazine anglais " The Ecologist " en septembre 2005. Selon le magazine Nexus numéro 10, on a consommé 400 millions de kilos d'aspartame depuis sa mise sur le marché. Lors d'une conférence dans un congrès sur la santé, au printemps 2005, une petite phrase m'a marquée : " On ne pourra pas changer le système par le haut mais on pourra le changer par le bas ". " Le bas ", c'est nous tous, les consommateurs qui achetions tous ces produits dangereux sans le savoir, nous avons le droit de dire non et de dépenser notre argent dans des produits de meilleure qualité nutritive, les plus naturels possible car notre corps n'est pas fait pour consommer des produits chimiques ! J'ai rencontré de nombreuses personnes qui disent manger bio mais qui prenaient 2, 4 ou 6 sucrettes par jour ou encore qui mâchaient des chewing-gums " sans sucre " jusque-là ce qu'elles me rencontrent ! Il est intéressant de savoir que sur 500 additifs autorisés et 4 000 aromes qui sont plus souvent chimiques que naturels, selon une étude récente, nous consommerions en un an… près de trois kilos d'additifs par personne ! Pour ce qui est de l'aspartame, je peux vous dire que j'ai déjà tué un rat sur ma terrasse et deux souris dans mon garage avec des sucrettes " offertes " par des victimes, d'autres personnes en ont utilisé en poudre (sans la respirer !) pour se débarrasser de fourmis ! Les effets secondaires de l'aspartame sont souvent réversibles, faites donc le test des 60 jours sans aspartame ni glutamate monosodique, cuisinez vous-même vos plats, évitez les viandes rouges qui contiennent une source naturelle de phénylalanine et buvez près de deux litres d'eau par jour !
Corinne Gouget.
Corinne Gouget représente en France depuis 10 mois Mission Possible International (voir encadré), association de bénévoles internationaux. Passionnée de nutrition depuis qu'elle exerce le métier le plus difficile au monde, celui de maman, elle s'intéresse depuis 11 ans aux effets nocifs pour notre santé de tous les autres additifs et vient d'écrire un guide qui sera très bientôt publié (voir ci-dessous).
Et cette vidéo de Marie-Monique ROBIN, auteur bien connue du livre "Le Monde selon Monsanto".
Je rappelle aussi ce que j'ai écrit dans le 1er volet sur la stratégie Monsanto, à savoir "Le secrétaire de la défense Donald Rumsfeld avait été PDG d’une filiale de Monsanto GD Searle qui produisait l’aspartame, un édulcorant artificiel cancérigène créé à partir d’OGM."
La collusion entre les structures gouvernementales des nations occidentales et les sociétés privées n'est plus à prouver tellement criant partout, y compris en Europe, y compris en France.
Les gouvernements ne défendent plus l'intérêt des peuples depuis belle lurette. Au contraire, ils ne pensent qu'à les détruire via l'exsanguination financière, les poisons alimentaires et médicamenteux et le lavage de cerveau permanent jusqu'à ce qu'ils en arrivent à l'état de légumes.
Edward Griffin is the author of numerous books as The Creature from Jekyll Island (about the FED system).
I have read all the books on that topic and I can assure you that it's one of the best along with Tragedy and Hope (1300 pages) and Eustace Mullins.
Anyway, this is an introduction to my point. Edward Griffin is very active against the New World Order and I have just received this in my weekly news.
So I give you here the link if you decide to take part and defend your freedom as US citizens.
In another outrageous power-grab, FDA says your own stem cells are drugs—and stem cell therapy is interstate commerce because it affects the bottom line of FDA-approved drugs in other states!
We wish this were a joke, but it’s the US Food and Drug Administration’s latest claim in its battle with a Colorado clinic over its Regenexx-SD™ procedure, a non-surgical treatment for people suffering from moderate to severe joint or bone pain using adult stem cells.
The FDA asserts in a court document that it has the right to regulate the Centeno-Schultz Clinic for two reasons:
1. Stem cells are drugs and therefore fall within their jurisdiction. (The clinic argues that stem cell therapy is the practice of medicine and is therefore not within the FDA’s jurisdiction!)
2. The clinic is engaging in interstate commerce and is therefore subject to FDA regulation because any part of the machine or procedure that originates outside Colorado becomes interstate commerce once it enters the state. Moreover, interstate commerce is substantially affected because individuals traveling to Colorado to have the Regenexx procedure would “depress the market for out-of-state drugs that are approved by FDA [2].”
We discussed the very ambiguous issue of interstate commerce last September—it’s an argument the FDA frequently uses when the basis for their claim is otherwise lacking. As we noted then [3], the FDA holds that an “interstate commerce” test must be applied to all steps in a product’s manufacture, packaging, and distribution. This means that if any ingredient or tool used in the procedure in question was purchased out of state, the FDA would in its view have jurisdiction, just as they would if the final product had traveled across state lines.
This time the FDA just nakedly says in court documents that the agency wants to protect the market for FDA-approved drugs. No more beating around the bush—their agenda is right out in the open! This appears to be a novel interpretation of the Food Drug and Cosmetic Act (FD&C), as evidenced by the government’s failure to cite any judicial precedent for their argument.
The implication of the FDA’s interpretation of the law, if upheld by the court, would mean that all food, drugs, devices, and biologic or cosmetic products would be subject to FDA jurisdiction [2]. The FDA is expanding its reach even to commerce within the state, which we argue is far beyond its jurisdiction, in order to protect drug company profits.
Last year we ran a two-part series on the current status of federal and state law—and FDA jurisdiction—and how it affects integrative treatments (part one [4] and part two [5]).
The Centeno-Schultz Clinic takes your blood, puts it into a centrifuge machine that separates the stem cells, and a doctor puts them back in your body where there is damaged tissue. The clinic has argued numerous times that stem cells aren’t drugs because they are components of the patient’s blood from his or her own body.
The FDA says otherwise: “Stem cells, like other medical products that are intended to treat, cure, or prevent disease, generally require FDA approval before they can be marketed. At this time, there are no licensed stem cell treatments.” There they go again, saying that components of your body are drugs and they have the authority to regulate them! It’s the only way the agency can claim that adult stem cell therapy is within FDA’s purview.
However, the agency seems to be of two minds. When ESPN magazine was doing a story on stem cell treatments [6], the FDA stated that US policy is to allow the injection of stem cells that are treated with “minimal manipulation,” which federal regulations define as “processing that does not alter the relevant biological characteristics of cells or tissues”—which is certainly the case with the Regenexx clinic.
Despite this policy, FDA has been attacking the clinic for the past four years. They have tried injunctions and demanded inspections in their attempts to make the company bend; this court battle is merely the latest salvo.
The primary role of adult stem cells in a living organism is to maintain and repair the tissue in which they are found. The hard part has been to get enough of them. But new technology is giving doctors the ability to obtain more stem cells from a patient than previously thought possible, which is why we’re now seeing new treatments. Blood, fat, or tissue is withdrawn from the patient, stem cells are obtained using one of these new processes, and the cells are injected back into the patient where they can repair the patient’s tissue.
Gov. Rick Perry received this kind of stem cell therapy [7]. We and others noted that the governor’s defense of freedom of healthcare choice when it came to his own treatment was starkly at odds with his directive to administer HPV vaccines to young girls against their own (and their parents’) wishes. It’s also at odds with his support for some of the most egregious witch-hunters on the Texas State Medical Board, which he appoints.
Behind Perry’s blatant inconsistency and the latest FDA attempted power grab lies the same problem: a medical system run by special interests under the leadership of the US government, the same government that is supposed to represent “we the people.”
Producers of television crime programs and publishers of major newspapers have admitted that they intentionally skew coverage to downplay minority criminal activity, part of a racist, anti-white overreaction to complaints by liberal groups that crime programs portray blacks and Latinos as criminal and out of control.
In a recent column by Ben Shapiro, a political columnist syndicated by Creators Syndicate, John Langley, producer of the television show “Cops,” admitted that he consciously inserts an anti-white bias into his programming:
“I show more white people than statistically what the truth is in terms of street crime,” Langley said. “If you look at the prisons it’s 60-something percent people of color, and 30-something percent of white people. If you look at ‘Cops,’ it’s 60 percent white and 40 percent [blacks and Hispanics] . . . it’s just the reverse. And I do that intentionally.”
Editors at mainstream publications have also conceded that they downplay the race of criminals, because they do not want the public to know that most criminals are black or Hispanic. Tom Kent, a deputy managing editor for the Associated Press, recently stated that the number of blacks who commit crimes “probably would not be germane to the story” in most of the news wire’s press coverage. Gerould Kern, senior vice president and editor of The Chicago Tribune has said, in defense of the same policies, that “we guard against subjecting an entire group of people to suspicion because of the color of their skin,” and that his paper does so by altering the facts of the news when it doesn’t suit their political ends. Washington Post ombudsman Andrew Alexander has said the same, telling readers that “The Post should always be sensitive to overplaying stories, especially if race is involved.”
Of course, the issue of not mentioning race becomes more serious when minority criminals are engaged in racist violence against white people—a relatively common situation that is broadly denied by the mainstream news. The New York Times, The Chicago Tribune, The Los Angeles Timesand The Washington Post have all been accused of doing this in various reports.
Les producteurs de programmes de télévision sur la criminalité et des éditeurs de journaux importants ont reconnu qu’ils déforment intentionnellement l’actualité pour minimiser l’importance des activités criminelles des minorités de couleur, et exagèrent celles des Blancs, suite aux plaintes formulés par les groupes libéraux qui estiment que les émissions sur la criminalité décrivent les Noirs et les Latinos comme des criminels hors de contrôle.