mardi 12 juin 2012

Quand on pousse le bouchon trop loin ou quand on cherche le bâton pour se faire battre


Les juifs vont beaucoup trop loin avec cette histoire de shoah. Le mensonge de cette guerre va leur revenir en pleine figure tel un boomerang !!  

Mardi 27 mars 2012 : lancement du site "Enseigner l'histoire de la Shoah"


Les programmes scolaires officiels prévoient que l’histoire de la Shoah soit enseignée dès l’école élémentaire en CM2, puis approfondie à différents stades du parcours secondaire, général et technologique, en troisième et en première. Pour aider les enseignants dans leur mission, le Mémorial de la Shoah, en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative, a créé le site internet « Enseigner l’histoire de la Shoah ». Premier portail pédagogique sur l’histoire de la Shoah à l’intention des enseignants, il propose de nombreuses ressources pédagogiques et historiques, notamment des pistes pour la réalisation de séquences adaptées au niveau des élèves. 

Ce site sera régulièrement mis à jour et permettra aux enseignants de disposer d’un outil de travail porté par une institution entièrement dédiée à l’enseignement de la Shoah.
Le soutien du ministère de l’Éducation nationale pour ce projet s’inscrit dans le cadre de la convention de partenariat signée en 2012 entre le ministère et le Mémorial.
Le site www.enseigner-histoire-shoah.org ouvre le 27 mars 2012, date symbolique marquant l’anniversaire du départ de France du 1er convoi de déportation pour Auschwitz, le 27 mars 1942. 
Outre une page d’actualités, qui relaie les actions menées par divers acteurs pour entretenir la mémoire de la Shoah, le site est articulé autour de quatre rubriques : 
- Activités dans la classe et l’établissement
- Visites pédagogiques
- Outils et ressources
- Formations
 Activités dans la classe et l’établissement
Cet espace propose aux enseignants des séquences adaptables ou utilisables telles quelles et des pistes de réflexion pédagogiques et scientifiques dans le traitement de l’histoire de la Shoah. Il est par ailleurs possible de mettre en place des projets sur le thème de la Shoah impliquant un groupe d’élève ou tout un établissement, comme la participation à un concours ou l’accueil d’une exposition.
Visites pédagogiques
Effectués en complément du cours d’histoire, les visites et voyages d’études en France et en Europe permettent aux professeurs de confronter leurs élèves à différents sites historiques représentatifs de la destruction des Juifs. Cette rubrique recense les différents lieux qu’il est possible de visiter et donne des informations pratiques sur le financement et l’organisation des voyages. Afin de s’inscrire dans une démarche pédagogique, les voyages nécessitent un travail de préparation en amont et un travail de restitution dont des exemples sont proposés en ligne.
Outils et ressources
 Le Mémorial de la Shoah met à disposition des professeurs une série d’outils et de ressources historiques pour la préparation d’un cours. Un lexique, des fiches thématiques, une chronologie historique de la Shoah, des cartes et de nombreux documents d’archives commentés sont consultables et téléchargeables. Des bibliographies, filmographies, sélections de sites internet ont également été réalisées pour permettre aux professeurs de trouver les ouvrages, textes et documents de référence pour aborder les thématiques qu’ils souhaitent dans le cadre du cours.
Formations
Différents séminaires de formation sont organisés à destination des équipes pédagogiques. Approfondissement de la connaissance de l’histoire de la Shoah et réflexion sur son enseignement dans une approche disciplinaire ou interdisciplinaire sont au cœur de ces séances. Cet espace présente l’offre disponible et propose également des articles d’historiens, de professeurs et pédagogues qui livrent leurs réflexions et leurs retours d’expériences autour de l’enseignement de l’histoire de la Shoah, un sujet en constante évolution et faisant l’objet de nombreux colloques, séminaires et publications. 
Pour rester en contact 
Une newsletter spécialement adaptée aux enseignants présentera régulièrement les actualités autour de l’enseignement et de la mémoire de la Shoah. L’inscription se fait sur le site via l’onglet « S’inscrire à la newsletter ». Pour toute question ou suggestion, il est possible de contacter l’équipe du site « Enseigner l’histoire de la Shoah » via un formulaire en ligne. Le graphisme et le développement informatique du site www.enseigner-histoire-shoah.org ont été assurés par la société LP active. Maîtrise d’ouvrage et conception éditoriale : Mémorial de la Shoah, en partenariat avec le ministère de l’Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie association.
Source : 


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En me promenant sur le site "Enseigner l'histoire de la shoah", j'ai trouvé ces quelques extraits qui expliquent nombre de points, si ce n'est toute la stratégie du 20ème siècle. 
Voici comment sont éduqués les enfants, comment ils sont formatés dès l'âge de 3 ans et ce jusqu'à l'âge de 16 ans, puisque l'école est obligatoire jusqu'à 16 ans.  
Or s'ils en sortent à cet âge-là, leur éducation est déjà pour ainsi dire terminée, la base de données de leur cerveau gauche est déjà intégrée. Le système, dont ceux qui l'ont initié sont désormais clairement identifiés, a bien travaillé. Plus le jeune continue ses études, plus la base de données va s'étoffer et s'enraciner.     
Il ne reste plus aux parents conscients du désastre qu'à la jouer fine en éveillant toujours plus la curiosité de leurs enfants sur nombre de sujets, mais pour cela faut-il encore avoir suffisamment de  proximité avec son enfant, c'est à dire instaurer une relation sincère, authentique et aimante et ce, le plus tôt possible.

Voici donc des extraits choisis.      

"Enseignements élémentaire et secondaire" 

"L’extermination des Juifs d’Europe est inscrite dans les programmes de l’école primaire. Les nouveaux programmes applicables à la rentrée 2008 confirment l’enseignement obli- gatoire au cours moyen de l’extermination des Juifs*  et des Tziganes par les nazis, un crime contre l’humanité.
Soucieux de la transmission de la mémoire de ces événements tragiques et uniques de l’histoire de notre continent, ainsi que du nécessaire ajustement des enseignements à l’âge des élèves, le Président de la République a récemment demandé que la mémoire des enfants vic- times de la Shoah soit privilégiée à l’école.
Les recommandations suivantes sont formulées à partir des travaux du groupe de travail (...) à qui le ministre de l’éducation nationale a confié la mission de réfléchir à la mise en œuvre pédagogique de la demande du Président de la République.
Inscrit dans sa dimension historique, l’enseignement de la Shoah a une finalité civique et répond à une obligation morale. Il ne s’agit pas seulement de transmettre une mémoire et des connaissances : il faut donner à tous les élèves les éléments de culture et de réflexion leur permettant de refuser toutes les formes de racisme et de discrimination et de comprendre que, contraires à la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, elles rendent impossible la démocratie.
L’étude de l’extermination des Juifs et des Tziganes par les nazis a pour objectif de faire acquérir progressivement une connaissance précise de ce crime historique majeur perpétré en Europe, de le restituer dans le contexte d’une idéologie raciste et d’un système politique totalitaire. Cette étude intègre la prise de conscience mondiale qui, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, a conduit les instances inter- nationales à adopter la Déclaration universelle des droits de l’Homme, et à créer la notion de crime contre l’ humanité dont le caractère imprescriptible a été intégré au droit national des démocraties.
À l’école élémentaire, l’étude de la Shoah doit s’appuyer sur la complémentarité des disciplines: elle s’effectuera principalement en histoire, mais elle pourra prendre appui sur des œuvres d’art ou sur des livres dans le cadre de l’enseignement d’histoire des arts ou de littérature. L’objectif est à ce niveau de donner des premiers repères, notamment chronologiques mais aussi spatiaux car la dimension européenne du crime et de son organisation doit être évoquée. Il s’agit aussi de contribuer à l’éducation morale et civique des élèves en commençant à approcher la question de la responsabilité personnelle et collective, celle aussi de la résistance à la barbarie.Les élèves seront ainsi amenés à une première compréhension de la notion de crime contre l’ humanité ainsi qu’ à celle de droits humains universels.
Pour aborder cet enseignement, les maîtres sont libres de leurs choix pédagogiques et plusieurs approches, souvent complémentaires, sont possibles. La thématique des enfants victimes est cependant une entrée à privilégier au CM2 : partir d’un nom, d’un visage, d’un itinéraire, de l’exemple singulier d’une famille dont l’histoire est liée aux lieux proches - l’école, la commune, le département - constitue une approche péda- gogique respectueuse de la sensibilité des enfants.
À partir des exemples des maisons d’enfants, des enfants cachés, des justes, ils approcheront aussi les notions de solidarité et de valeurs universelles.
Ces cas singuliers inscrits dans l’ histoire constitueront, par leur dimension mémorielle, la première étape d’un savoir que les enseignements d’histoire au collège puis au lycée permettront de consolider.

En complément des enseignements, la Journée de mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’ humanité, instituée le 27 janvier, anniversaire de la libération du camp d’ Auschwitz, constituera un moment privilégié de mémoire et de réflexion dans les écoles.
(* il est néanmoins précisé sur la page "textes officiels"  la phrase suivante : "Les programmes officiels prévoient que la Shoah soit abordée en classe dès l’école élémentaire, puis approfondie à différents stades du parcours secondaire général, technologique et professionnel. Lorsque ces programmes avaient été rédigés, le parti avait été pris d'associer le génocide des Juifs à celui des Tziganes. à la lumière des récentes études historiques, nous pensons qu’il est justifié de les dissocier. La plupart du temps, il est conseillé aux enseignants d’inscrire cet enseignement dans le cadre plus large de l’étude de l’Allemagne nazie et des systèmes totalitaires, ainsi que dans celui des « violences » qui ont jalonné le XXe siècle, en particulier au cours des deux guerres mondiales.")        
Vous noterez combien le but est de toucher la fibre sentimentale de l'élève par la proximité aussi bien géographique qu'émotionnelle via l'étude d'un cas particulier. 
L'art et la littérature sont aussi utilisés comme support. Bien sûr puisque la notion d'art et de littérature grandement manipulée par ceux qui contrôlent le monde, se donne pour mission de nourrir les besoins culturels, artistiques et esthétiques des Gentils/Humains qui sont naturellement (donc par essence, et ceci étant lié au cerveau droit) très portés sur la notion d'esthétique, du beau, de ce qui émeut les sens au sens le plus noble du terme et pas tel que conçu de nos jours (pensez à l'ancienne Egypte qui symbolise l'idée du "beau" lorsqu'il est traité via le cerveau droit gentil). 

Je vous invite à regarder cette vidéo sur les ouvrages proposés à la jeunesse "pour ne pas oublier la shoah" !! 

Extrait de "Ressources pour les classes de première des séries générales - guerres mondiales et espoirs de paix"

"Le thème général invite à articuler deux interrogations pour comprendre l’organisation du monde au XXe siècle. Il s’agit dans la première question d’étudierla manière dont les deux conflits mondiaux témoignent de l’entrée dans l’ère de la « guerre totale », aboutissant à la prise de conscience progressive de la nécessité d’une régulation mondiale pour préserver la paix et à la création des conditions nécessaires à cette régulation.
Dans son acception actuelle, le concept de « guerre totale » est formulé à l’issue de la Première Guerre mondiale ….. et théorisé dans l’entre-deux-guerres par Carl Schmitt.
Pour chaque conflit, la guerre est abordée en privilégiant la place des hommes et en s’interrogeant, à partir du sort réservé aux combattants et aux populations, sur les transformations de la nature de la guerre. Au-delà des événements militaires et des bouleversements politiques, l’objectif est donc de montrer comment l’expérience de la « violence de guerre » porte en elle les germes de la transformation des sociétés et des rapports qu’elles entretiennent à l’État. Cette notion permet d’interroger la manière dont les individus, les groupes et les nations ont été marqués par les situations de violence extrême (à commencer par la mortalité de masse) qui interviennent dans le cadre d’une situation de guerre, qu’ils les aient subies ou provoquées.


(....)


Espoirs de paix
L’étude des deux guerres mondiales doit permettre de comprendre pourquoi et comment chacune d’elle a donné naissance à l’espoir d’un nouvel ordre mondialqui se traduit par des tentatives pour préserver la paix à l’issue d’une catastrophe à chaque fois conçue comme ultime. Le monde d’après-guerre étant dominé par les seules puissances en mesure de mener une guerre totale, ces tentatives sont donc directement liées à la nature du conflit. La présentation de la SDN et de son échecdemande à être effectuée de manière synthétique, en lien avec le retrait des États-Unis, seul pays en mesure de prolonger un engagement total dans la paix, qui est mis en regard du manque de volonté et de moyens des autres pays. La création de l’ONU et la mise en place d’un système qui s’inspire de ce précédent pour préserver le monde d’une nouvelle conflagration a pu aboutir du fait de la volonté affirmée du président Roosevelt de voir se mettre en place un nouveau système garantissant la paix. L’étude de cette organisation internationale permet de montrer ses différentes facettes dans les domaines diplomatique, militaire, économique, financier et culturel."
Là encore, l'histoire des Arts vient en renfort de toute la propagande. 

Les deux guerres mondiales ont également servi la construction européenne et ceci peut s'identifier dans l'extrait donné sur le site sur les programmes de l'école primaire. 

Voilà le topo. 

D'un autre côté, la seule manière dont sont traités ceux qui osent s'opposer aux mensonges juifs par la vérité vraie des faits, preuves à l'appui, se retrouvent dans les pires situations. 

Ce constat-là est à lui seul, une preuve imparable de l'imposture sans avoir même besoin d'aller plus loin. 
En cela, je rejoins tout à fait Roger Polacco de Ménasce. 

Le simple fait d'être diffamé et traqué, sans parler de toutes les rétorsions économiques est la PREUVE INCONTESTABLE DU MENSONGE DE CETTE SHOAH qui n'a pas seulement pour but de récupérer des sommes considérables d'argent. Mais plutôt et surtout de continuer la mise en place de l'extermination de l'Humanité en faisant d'une pierre, deux coups au moins, ne serait-ce que par la dictature de la pensée mise en place grâce à cette imposture et à l'argent extorqué dans la droite ligne de l'asservissement économique mis en place : payer toujours plus et toujours plus cher. 

Lorsque l'on parle vrai et vérité, on n'a aucun problème à laisser dire, laisse parler, laisser "enquêter", laisser investiguer.

Tout simplement parce que la Vérité n'a pas peur. La vérité ne craint pas la contradiction. De quoi aurait-elle peur puisqu'elle dit la vérité ?

Or aujourd'hui, ce sont ceux qui disent la vérité, qui dénoncent l'imposture qui sont malmenés, attaqués, diffamés. C'est bien la preuve qu'il y a un problème sur cette soi-disant vérité qu'il est interdit de contester et même de discuter. Si ce n'était pas le cas, cette dictature de la pensée shoatique n'existerait pas. C'est aussi simple et limpide que cela.      

Vous aurez noté bien sûr, les "espoirs de paix " désormais entérinés par Shimon Peres. 
Tout ceci a été monté avec le génie de l'intelligence du Mal, et la nature et les valeurs des Gentils/Humains ont été utilisées contre eux.   

Il est évident que tout ceci ne peut que très très mal finir mais le Nouvel Ordre Mondial aka les juifs continuent d'avancer et accélèrent même le processus car leur but est clairement de faire le plus de dégâts possible aussi entre le formatage des esprits et les substances ingérées via l'alimentation et la médication, entre autres, les êtres humains sont pour la très grande majorité dans un état de santé catastrophique, et c'est le cerveau qui est prioritairement visé et atteint. 

Nous sommes dans une course au temps, informer reste capital en axant prioritairement sur les sujets concernant l'alimentation empoisonnée et les médicaments, également véritables poisons actifs.

Je répète; 
Les juifs sont responsables de la totalité de la situation catastrophique planétaire ainsi que de l'état de santé, de dégénérescence physique, mentale et économique de l'Humanité.