La petite fille a développé une paralysie après ses injections de vaccins.
** Les noms ont été modifiés pour protéger l’identité de cette famille. Toutes les citations sont les mots exacts de la maman et il faut avoir à l’esprit que l’anglais n’est pas la langue d’origine de la mère.
Emma est une petite fille de six ans qui souffre de sévères dommages vaccinaux, tels que plusieurs experts réputés ont pu le vérifier. Emma est totalement paralysée et incapable de bouger la moindre partie de son corps. Elle ne peut pas parler et respire grâce à l’aide d’un mince tube inséré dans sa trachée (trachéotomie).
Au lieu de l’aide et de l’indemnisation auxquelles la famille devrait recevoir, Emma a été volée à sa mère par l’Etat et passe ses journées dans ce que sa mère décrit comme « une terrible institution pour handicapés ». Au lieu du soutien dont la maman d’Emma a besoin pour venir à bout de ce qui est arrivé à sa fille, elle a été accusée de chercher des réponses avec trop d’insistance pour trouver l'aide de professionnels qu’elle pensait les plus utiles pour sa fille.
Mme X, la mère d’Emma, est dévastée et déclare qu’elle n’a rien fait de mal. Elle m’a raconté :
« J’ai un casier judiciaire vierge, je n’ai pas d’antécédents d’usage de drogues ou de quelque autre substance, jamais aucune cure de désintoxication, rien ! Tout ce qu’on me reproche c’est de parfois agir avec la peur que les jours de ma fille soient comptés.
Je veux qu’elle sorte de là TOUT DE SUITE !
Quand j’ai été lui rendre visite hier, sa peau puait, l’orifice de trachéotomie était sale et sanguinolent, elle se trouvait dans une petite chambre surchauffée sans ventilateur ou air conditionné, on ne lui permet pas de prendre un bain, de sortir en promenade, le personnel ne sait pas ce qu’est un insufflateur/exsufflateur (un appareil qui sert à aspirer les sécrétions respiratoires des gens qui ne savent pas tousser de façon autonome, de façon à éviter qu'ils puissent s'étrangler), un dispositif pourtant vital pour ma fille. Ne pas savoir comment fonctionne ce genre de machine est inacceptable parce que s'il arrive quelque chose et qu'ils ne savent pas comment l'utiliser, Emma pourrait mourir! Elle présente en outre une sale coupure au niveau du coup, que les infirmières ont dû lui faire par négligence, en chipotant de façon imprudente à son orifice de trachéotomie.
La manière dont ils ont kidnappé ma fille qu'ils m’empêchent à présent de voir relève d’une situation cauchemardesque. »
Hélas, Emma n’est qu’un de ces 10 000 enfants, en Grande-Bretagne, qui ont été enlevés à leurs parents pour être « placés », depuis avril 2011. Aujourd’hui, le Daily Mail (1) a rapporté que beaucoup de ces enfants faisaient partie de statistiques sans cesse croissantes qui effraient les professionnels et selon lesquelles un grand nombre d’enfants vulnérables sont enlevés inutilement à leurs parents pour aller languir dans des systèmes de soins qui ne leur conviennent pas.
Comment est-il possible qu’un enfant gravement endommagé par les vaccins puisse figurer dans ces statistiques épouvantables ?
La façon dont tout s'est déroulé
Emma était une enfant heureuse
Emma n’a pas commencé sa vie comme une handicapée ; elle était tout à fait normale ; c’était une petite fille audacieuse qui aimait trottiner, qui adorait ses jouets. Mais bien qu’étant née tout à fait normale, elle était souvent malade ; son système immunitaire était affaibli ; elle faisait des infections à répétition qui nécessitaient à la fin la prise d’antibiotiques pendant des semaines.
Madame X pense que les problèmes d’Emma ont vraiment commencé avec ses premières vaccinations de routine. Dans les heures qui suivaient les vaccinations, elle s’affaiblissait, faisait de la fièvre et refusait de manger. Inquiète, Madame X transporta Emma à l’hôpital le plus proche. Les médecins expliquèrent qu’Emma avait attrapé un virus et se sentirait bientôt mieux.
N’établissant pas encore de lien avec les vaccinations et ignorant fort heureusement que cette situation n’était que le début de tous les déboires de sa fille, Madame X ramena son bébé à la maison.
Au fil des mois, Madame X remarqua que c’était après chaque vaccination qu’Emma devenait malade, bien qu’elle était toujours convaincue que les vaccins étaient ce qu’il y avait de mieux pour son enfant. Sur les conseils de son médecin, elle continua à faire vacciner sa fille. Madame X avoue :
"Il ne m’est jamais venu à l’esprit que les problèmes de ma fille pouvaient avoir été provoqués par les vaccinations. Dans mon entourage, personne ne m’avait jamais dit que les vaccins pouvaient avoir des effets secondaires."
Les véritables problèmes d’Emma n’ont vraiment commencé à devenir apparents qu’après sa vaccination ROR à 13 mois. Jusqu’alors, Emma s’était développée normalement, elle avait commencé à marcher, à parler, elle était bien vivante.
Après avoir reçu son vaccin ROR, Emma est devenue très malade ; elle avait fait une très mauvaise réaction au vaccin. C’est alors que Madame X commença à établir des liens et commença à réaliser que c’étaient bien les vaccinations qui avaient causé les problèmes de sa fille. Malheureusement pour la petite Emma, c’était déjà trop tard ; le dommage était fait.
A 15 mois, Emma commença à perdre l’équilibre. Elle tombait régulièrement sur sa figure sans pouvoir se protéger de ses bras et de ses mains. Très inquiète, Madame X conduisit Emma chez un neurologue. Tous les tests standards réalisés montraient que la situation était normale.
Petit à petit, Emma perdit le contrôle de ses bras comme du haut du torse et en juin 2008, alors qu’elle avait à peine deux ans, elle ne parvenait plus à respirer. C’est alors qu’elle fut dirigée vers les soins intensifs pédiatriques.
Madame X explique :
« Peu de temps après, le neurologue me fit comprendre qu’ Emma était malade, mais qu’il ne possédait pas de preuves par rapport à un diagnostic précis. Aucun traitement ne fut donc entrepris. J’étais dévastée, j’avais peur que ma petite ne meure. J’étais envahie par le désespoir et la tristesse. J’ai ainsi passé plusieurs semaines comme hébétée. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais après deux mois, quelque chose m’a dit intérieurement qu’Emma n’allait pas mourir et que je ne pouvais pas continuer ainsi sans savoir ce qui avait rendu ma fille aussi malade. J’ai senti que je devais me reprendre et continuer la lutte. Il fallait que je prenne conseil ailleurs. J’ai alors conduit Emma chez les plus grands spécialistes de Grande- Bretagne. Ils ont fait des tas de tests, mais toujours aucune réponse !! »
Comme Madame X commençait à réaliser que les vaccinations étaient vraiment le problème, son instinct maternel lui souffla de ne plus autoriser la moindre vaccination. Cependant, comme nous le savons tous, les médecins savent se montrer extrêmement persuasifs, surtout quand on est seule, paniquée et qu’on a besoin de faire confiance à quelqu’un pour sauver la vie de son enfant. C’est alors qu’il est très facile de croire ce que ces gens vous racontent.
C’est ainsi qu’en dépit de ce qu’avait pensé et décidé Madame X, le vaccin anti- grippal fut malgré tout administré à Emma dont l’état se détériora immédiatement.
Madame X raconte ce qui s’est passé dans la suite :
« Le jour suivant, ses yeux n’arrêtaient pas de bouger de gauche à droite et, comme elle perdait du sang sans raison apparente, elle dut subir une transfusion de 500 ml. Elle continua à être si malade que j’ai cru qu’elle allait mourir. C’est alors que j’ai eu l’impression d’une voix et d’une guidance invisible qui voulaient me faire comprendre que l’état de santé de ma fille était vraisemblablement dû aux vaccins. J’ai commencé alors à réfléchir très sérieusement à la chose, et tout est finalement devenu très clair : les symptômes que présentaient ma fille étaient bel et bien dus aux effets secondaires des vaccinations. ! »
Quatre experts reconnaissent que l’état de santé d’Emma a été provoqué par les vaccinations
Craignant le pire pour sa fille, Madame X entreprit tout ce qui était en son pouvoir pour venir en aide à sa fille. Elle commença à voyager ; elle consultait médecin après médecin pour pouvoir obtenir un avis, de l’aide et un traitement. Les médecins qu’elle consulta lui expliquèrent que l’état de santé d’Emma avait été provoqué par les vaccinations. (VID, Vaccine Induced disease ce qui veut dire en français Maladie induite par les vaccins)
Madame X fit alors l’impossible pour obtenir le rapport de quatre des meilleurs experts mondiaux. Ces quatre experts déclarèrent que la santé d’Emma s’était détériorée à la suite des vaccinations.
Ci-dessous quelques extraits de ces rapports :
Expert n°1
23.01.2012
Mon diagnostic, pour la maladie d'Emma, née le ___________-2006 repose sur des constatations cliniques mais qui sont corroborées par certaines investigations au sujet de sa polyneuropathie sensitivo-motrice impliquant les nerfs du tronc cérébral et les nerfs périphériques. Ce diagnostic a été accepté par d'autres avant que je ne me penche sur ce cas et Emma avait reçu des traitements substantiels à base d'immunoglobulines et de corticoïdes. Selon moi, il s'agit le plus probablement d'une réponse auto-immune suite à la vaccination. Un diagnostic suggestif d'une certaine forme d'atrophie musculaire n'a jamais été confirmé et fut écarté par la suite.
Expert n°2
31.03.2010
Aujourd’hui la patiente est complètement paralysée. Elle ne peut plus contrôler que ses yeux et ses paupières. Elle a besoin d’une aide respiratoire 24h sur 24.La patiente a été examinée par différents experts et son état clinique ne correspond à aucun syndrome neurologique connu. Cependant, l’anamnèse minutieuse et le fait que ses symptômes se sont produits après la vaccination suggèrent une haute probabilité que l’état de santé actuel de la patiente puisse être la conséquence d’un syndrome induit par la vaccination (VIDS, Vaccination Induced Damage Syndrome)
Faute d’une meilleure explication du diagnostic de ma fille, il me semble que l’explication VIDS est très vraisemblablement la cause de son état de santé.
Expert N°3
12.12.2011.
Je joins une copie de mon rapport sur le cas d’Emma__________.Elle est gravement atteinte par ce qui est le plus vraisemblablement le résultat d’une neuropathie sensitivo-motrice ayant fait suite à l’immunisation. Les membres et le corps lui-même sont dans une grande faiblesse ; les nerfs du tronc cérébral sont aussi affectés. L’alimentation gastrique, et l’assistance respiratoire nécessitées par l’état de l’enfant ne sont plus suffisants. Il est nécessaire de pratiquer une trachéotomie suite à l’oedème visible dans la région laryngée.
Expert N°4
28.02.2012.
Emma________. J’ai été satisfait de constater que les médecins consultés ont tous été d’accord pour déclarer que la maladie autoimmune d’Emma était la résultante des vaccinations infantiles de routine, le vaccin ROR ayant constitué l’élément final de son handicap.
En dépit de toutes ces preuves et alors qu’Emma était désespérément malade et handicapée, les autorités décidèrent que la santé d’Emma n’avait pas du tout été altérée par les vaccinations. Dans leur rapport, ils écrivent qu’Emma souffre d’atrophie musculaire spinale,maladie qui avait déjà été exclue, comme indiqué dans le premier rapport des experts.
Dans le but de calmer l’un des experts repris ci-dessus qui avaient fait trop de bruit au sujet des problèmes de santé d’Emma, les autorités le menacèrent de retirer sa licence s’il ne se tenait pas tranquille. Malheureusement ce médecin courageux et déjà âgé, mourut d’une attaque cardiaque peu de temps après. Cette crise cardiaque fatale fut-elle le résultat de la manière dont ce médecin avait été traité ? Cette question ne trouvera malheureusement jamais de réponse.
Emma paralysée après avoir été vaccinée
Les derniers rapports sur la santé d’Emma disent qu’elle souffre d’une anomalie génétique qui l’empêche d’assimiler la vitamine B2, ainsi que d’autres vitamines. Elle reçut donc un traitement comprenant cette vitamine B2.
Les autorités qui avaient reconnu que Madame X était une femme charmante qui comprenait bien les problèmes de sa fille, qu’elle faisait tout son possible pour la soigner, déclarèrent cependant qu’elle ne pourrait pas s’occuper à plein temps d’un cas comme celui de sa fille qui engendrerait un stress trop important. Ces autorités finirent par faire entendre que Madame X devait avoir des problèmes de santé mentale.
Ce genre de situation se passe régulièrement dans la majorité des cas où une complication vaccinale s’est produite. Je n’ai pas encore rencontré de famille où les choses ne se sont pas produites de cette façon.
Madame X, comme beaucoup d’autres parents, a finalement dû se soumettre à des heures de tests et d’évaluations psychiatriques.
Les services sociaux ont alors déclaré que Madame X était négligente vis-à-vis de sa fille, qu’elle mettait en fait la vie de sa fille en danger en courant d’un expert à l’autre pour obtenir des évaluations, des réponses et des traitements qui n’existaient pas en Grande Bretagne.
A ces accusations, Madame X rétorqua que le traitement qu’elle a finalement pu trouver à l’étranger a, en fait, bel et bien sauvé la vie de sa fille et que tout ce dont elle est coupable est d’avoir tenté l’impossible pour sauver son enfant qui était quasi mourante.
A la suite des accusations dont elle avait fait l’objet, Madame X reçut l’interdiction de photographier son enfant, et n’était autorisée à lui rendre visite que tous les 7 à 10 jours, sous stricte surveillance.
Charles Pragnell qui est un consultant indépendant en gestion, défenseur des familles, expert en protection de l’enfance, a déjà pu apporter plusieurs éléments de preuve dans des procès en Angleterre, Ecosse et Nouvelle Zélande.
Dans son article « Harcèlements obligatoires des enfants et des familles » (2), il explique :
« La recherche montre que plusieurs centaines de milliers d’enfants, ainsi que leurs familles sont placés, sans raisons valables, sous la surveillance d’organismes de Protection de l’Enfance. Ces personnes qui sont ainsi soumises à des enquêtes inquiétantes, se voient évidemment stigmatisées dans leur entourage et finissent par se retrouver complètement isolées. Beaucoup de familles signalent que ces enquêtes inutiles ont dévasté et même détruit leurs vies. D’autres recherches ont aussi montré que les enfants ont souffert de graves et longs troubles émotionnels à la suite de ces types d’enquêtes. »
Dans un autre article (3), il est fait état du nombre important d’enfants qui ont souffert de graves troubles à la suite des effets secondaires des vaccinations. Il pense que de nombreux parents sont faussement accusés d’abus d’enfants après une vaccination. Il poursuit en disant que très souvent ces parents sont montrés du doigt par les agences de protection de l’enfance pour négligence ou excès d’anxiété. Il déclare :
« Ces parents sont accusés d’être hyper anxieux, et s’il leur arrive de demander plusieurs avis médicaux, ils sont également épinglés. Au Royaume Uni, ces parents sont convoqués à des conférences organisées par la Protection de l’Enfance après avoir été soumis à des enquêtes extrêmement invasives. Ils ne sont pas autorisés à être représentés bien qu’ils soient accusés d’infraction pénale pour avoir négligé leur enfant. Ils sont ensuite sommairement déclarés coupables en fonction des opinions et des suppositions des professionnels présents dont beaucoup ne les ont jamais rencontrés.»
Ceci est exactement ce dont Madame X a été accusée. L’opinion de Monsieur Pragnell correspond parfaitement à celle de Lisa Blakemore-Brown, psychologue auteur et expert en matière d’autisme. Dans un article « L’arnaque du vaccin contre la rougeole » paru dans le journal « The Independent Newspaper », elle déclare :
« Le professeur Elisabeth Miller, chef du département « Immunisation » au Royaume- Unii a travaillé en étroite collaboration avec Bob Chen au CDC quand les premières études sur le Thimérosal furent « arrangées ». Cette personne siégeait dans le « Committee for Vaccination and Immunisation/Adverse Reactions Sub Committee » avec le Dr David Salisbury et le professeur Roy Meadow quand le vaccin ROR fut introduit.
Dans le cas de Sally Clark, le professeur Meadow l’accusa de tuer ses deux enfants qui venaient juste d’être vaccinés ; l’un de ses enfants avait juste été vacciné 5 heures auparavant. A ma connaissance, en tant que psychologue spécialisé dans les cas d’autisme depuis 1993 et travaillant en tant que psychologue spécialisée dans ces questions depuis 1984, je puis affirmer que beaucoup de parents dont les enfants ont mal réagi à un vaccin ont été faussement accusés du Syndrome de Munchhausen par procuration (MSBP). Des effets secondaires connus de vaccins ont été transformés en abus d’enfants. On a enseigné aux services à voir les choses de cette manière et à agir en conséquence. Certains parents se sont vus arracher leurs enfants, d’autres ont été mis en prison et Sally Clark a perdu et ses enfants et la vie. »
Il semble que quand une complication vaccinale se produit, le gouvernement et la profession médicale font l'impossible pour étouffer l'affaire et protéger les programmes de vaccination. N’est-il pas plus facile de rejeter la faute sur les parents ? Quand un enfant est victime de complications vaccinales, les parents sont automatiquement accusés de négligence ou d’abus d’enfants, ce qui détourne l’attention des vaccinations en la dirigeant directement sur les parents.
Au Royaume Uni, c’est ce qu’on appelle sans rire la « Protection de l’Enfance» . Personellement, je parlerais plutôt de protection des programmes vaccinaux et des soldes bancaires.
Références
1. Laura Clark Daily Mail ‘10,000 children taken into care: Numbers have doubled in the past four years’ Read more:
2. Charles Pragnell – Mandatory Persecution of Children and Families
3. Charles Pragnell – Vaccines and Child Abuse Accusations
4. Lisa Blakemore-Brown – The Independent Newspaper Measles Vaccine
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