mardi 12 juin 2012

La Destruction et la Mort plus précieuses que LA VIE



J'ai reçu il y a quelques jours un article sur la possibilité de tuer un bébé non désiré après sa naissance. Nous vivons dans une société qui aime la mort et la glorifie sous toutes ses formes et dans tous ces processus, que ce soit via la maladie, la destruction et même........le meurtre ! 

Merci au blog la Brebis Galleuse d'avoir relayé cette information capitale. 

Le combat qui est mené actuellement sur Terre est un COMBAT CONTRE LA VIE. 
Au delà de la mort physique, il s'agit d'instaurer la mort de manière irréversible. Il s'agit d'atteindre et de détruire l'âme, votre âme, et ce définitivement comme une lumière laquelle après avoir été progressivement affaiblie, on veut définitivement éteindre. 


Voici la traduction d'une partie du texte anglais sur le sujet. 


L'AMOUR DE LA MORT  




"Avez-vous déjà rencontré quelqu'un qui aime la mort? 

Malheureusement, il y a un nombre croissant de scientifiques, de politiciens et de faiseurs d'opinion mondiaux qui pensent que nous devons réduire la population humaine pour le bien de la planète.

Ils sont convaincus que l'humanité est à l'origine du réchauffement climatique détruisant d'autres espèces et rendant la vie sur cette planète invivable. 

Dans leur quête pour sauver l'avenir de la planète, ils sont de plus en plus audacieux et ambitieux avec leurs demandes de  contrôle de la population. 

Ils aiment la mort parce qu'ils croient que cela permettra de sauver la terre. 

Ils s'imaginent qu'avec moins d'êtres humains, il y aura moins d'émissions de carbone, moins de pollution et plus de place  pour d'autres espèces. 

Et comment cela va-t-il être réalisé? 

Eh bien, comme vous allez pouvoir le lire dans cet article, "le droit de tuer un nouveau-né à la naissance""des équipes mobiles d'euthanasie", "la technologie des ultrasons qui permet de détruire le sperme" et l'introduction de contraceptifs dans l'eau du robinet sont juste quelques uns des moyens employés pour réduire la population humaine.

Cette HAINE de la VIE et cet AMOUR de la MORT sont désormais enseignés dans tous les collèges et universités de notre société occidentale.Et cette philosophie du contrôle de la population devient plus dominante d'année en année. 

Je réalise que l'idée d'"équipes mobiles donnant la mort" peut  sembler tout droit sortie d'un film de science fiction et pourtant  la vérité est qu'elle est loin d'être utopique.


En fait aux Pays-Bas, six équipes mobiles d'euthanasie se déplacent désormais à domicile pour aider les personnes âgées à mourir dans le confort de leur propre maison.  


La description du programme donnée ci-dessous est extraite d'un article récent du journal "The Independant".
Le projet, qui a provoqué de vives critiques de  la part des médecins, est la trouvaille de la "Right to Die NL "(société néerlandaise au droit de mourir) très généreusement financée par des donateurs (NdT : comme les Rockefeller par exemple). Il s'en est suivi  la décision gouvernementale de 2002 de légaliser l'euthanasie, faisant ainsi des Pays-Bas le premier pays à franchir ce pas. Walburg de Jong,porte-parole de l'organisation a déclaré que depuis, quelque 3100 suicides assistés ont été réalisés chaque année. Les équipes mobiles d'euthanasie, dit-elle, sont gratuites et ont été conçues pour rendre plus facile la mort des  patients subissant une souffrance interminable.

Mais ce ne sont pas seulement les personnes âgées qui sont ciblées en vue de les faire mourir. 


Deux scientifiques ont récemment fait la UNE partout dans le monde lorsqu'ils ont publié un document appelant à la légalisation de "l'avortement après la naissance". (NdT, donc au meurtre du nouveau-né).    


Alberto Giubilini de l'Université Monash à Melbourne, en Australie et Francesca Minerva de l'Université de Melbourne sont co-auteurs d'un article paru dans le Journal of Medical Ethics intitulé "Avortement après la naissance: pourquoi le bébé devrait-il vivre?" 


Dans leur article, ils affirment que le bébé est juste une "personne potentielle" et que "tuer un nouveau-né devrait être autorisé dans les mêmes conditions que l'avortement l'est, en incluant aussi les cas où le nouveau-né n'est pas handicapé." 


Giubilini et Minerve font valoir que le simple fait qu'un bébé est un être humain ne veut pas dire qu'il a des droits. La citation qui suit est extraite de leur article....
"Le simple fait d'être humain n'est pas en soi une raison pour attribuer à quelqu'un le droit à la vie. En effet, beaucoup d'êtres humains ne sont pas considérés comme ayant droit à la vie: des embryons de rechange quand la recherche sur les cellules souches embryonnaires est autorisée, les fœtus quand l'avortement est autorisé, des criminels quand la peine capitale est légale."


"Giubilini et Minerve considèrent aussi que le "fardeau" placé sur la famille et sur la société par la naissance d'un bébé doit être prioritaire lorsqu'il s'agit de questions en lien direct avec la vie et la mort. 
Ce qui suit est une autre citation de leur document....
"Elever de tels enfants pourrait être un fardeau insupportable pour la famille et la société dans son ensemble ... Pour ces raisons, le fait qu'un fœtus a le potentiel de devenir une personne qui aura une vie au minimum acceptable n'est pas une raison pour interdire l'avortement." 
Et Giubilini et Minerva insistent sur tous les avantages de "l'avortement après la naissance".


Par exemple, environ un tiers des bébés atteints du syndrome de Down ne sont pas diagnostiqués dans l'utérus. Le droit d'avortement après la naissance s'occuperait de ce type de problème en permettant aux mères de "mettre fin à la vie" de ces enfants après leur naissance.


D'autres scientifiques ne sont plus seulement soucieux de donner aux mères et aux personnes âgées plus de "choix". Nombreux sont ceux qui désormais préconisent la mise en œuvre de mesures draconiennes globales pour réduire la population humaine. Pour le bien de l'environnement.


Par exemple, le professeur Philippe Cafaro de la Colorado State University a récemment publié un document intitulé "L'éthique et la politique climatique de la population". Dans ce document, Cafaro a déclaré que les humains commettaient un génocide "entre espèces" et que par conséquent, il était  impératif d'en réduire le nombre.
"Les scientifiques parlent maintenant des demandes accrues de l'humanité et de leurs impacts sur le monde que menant à une nouvelle époque géologique: l'anthropocène.Une telle appropriation égoïste et destructrice des ressources de la Terre ne peut être décrite que comme une génocide inter-espèces." 
"Pour Cafaro, stopper tout simplement la croissance de la population humaine n'est pas suffisant. Il dit que pour éviter "un changement climatique planétaire catastrophique", nous devons "considérablement" réduire la population humaine  mondiale actuelle:  
Mettre fin à la croissance de la population humaine est certainement une condition nécessaire (mais pas  suffisante) pour empêcher les changements climatiques catastrophiques. En effet, réduire  considérablement le nombre actuel d'humains peut être une nécessité pour parer à la catastrophe. "

Malheureusement, l'amour de la mort est maintenant largement répandu dans les collèges et universités américaines. Par exemple, le professeur de biologie, Eric Pianka à l'Université d'Austin au Texas (dont j'ai déjà parlé) a écrit ce qui suit:
Je ne supporte pas une quelconque hostilité envers les gens. Néanmoins, je suis convaincu que le monde, incluant  l'humanité toute entière, se porterait beaucoup mieux sans un grand nombre d'entre nous.
Le contrôle de la population est un domaine dans lequel Bill Gates a beaucoup investi. 
L'exemple suivant provient d'un article récent de Natural News:
"La vaccination de masse n'est apparemment pas la seule stratégie de dépopulation employée par la Fondation Bill & Melinda Gates, puisque de nouvelles recherches financées par cette fondation visent la manière à détruire délibérément les spermatozoïdes en utilisant la technologie des ultrasons."


BBC News a rapporté que la Fondation Gates a accordé  une   subvention à des chercheurs de l'Université de Caroline du Nord (UNC) pour développer cette nouvelle méthode de contraception. 


Pour leur étude, l'équipe UNC a testé des ultrasons sur des rats de laboratoire et a constaté que deux doses de 15 minutes réduisaient considérablement le nombre de spermatozoïdes et leur intégrité.
Lorsque cela fut administré  à deux jours d'intervalle via de l'eau tiède salée, les ultrasons causèrent une chute du nombre des spermatozoïdes de rats en dessous des dix millions de spermatozoïdes par millilitre, ce qui est déjà de cinq millions sous la barre de la "sous-fertilité" large, ce taux se maintint pendant six mois.


Malheureusement, il ne s'agit pas que de quelques scientifiques et faiseurs d'opinion qui soient obsédés par la mort et le contrôle de la population.



L'Organisation des Nations Unies continue de promouvoir l'Agenda 21 sur l'ensemble du globe. Ce qui suit explique comment l'Organisation des Nations Unies définit l'Agenda 21: 
"L'Agenda 21 est un plan d'action global qui doit être pris au niveau mondial, national et local par les organisations du Système des Nations Unies, les gouvernements et les grands groupes dans tous les domaines dans lesquels l'être humain  impacte sur l'environnement. 
L'Organisation des Nations Unies publie rapport après rapport appelant à toujours plus de «gouvernance mondiale» sur l'environnement.


Ce qui suit provient d'un article de Fox News: 
Le rapport, "21 Problèmes pour le 21e siècle", du Programme des Nations Unies pour l'environnement (UNEP) est l'aboutissement d'un processus de deux ans de discussion avec  22 scientifiques. Il lui sera accordé une attention considérable dans la perspective de la Conférence de Rio des Nations Unies pour le développement durable, qui se tiendra à Rio, au Brésil, en Juin. Les scientifiques qui ont rédigé le rapport disent qu'il se concentrent sur l'identification des questions émergentes dans l'environnement mondial, et qu'il ne s'agit pas de rendre obligatoire des solutions. 


Mais ses détracteurs y voient dans ses 60 pages un programme masqué qui appelle à une refonte complète de la façon dont la nourriture et l'eau planétaire seront créées et distribuées ~ et le rapport précise bien l'urgence qu'il y a pour la race humaine de se nourrir et de s' hydrater en toute sécurité.


Mais ce n'est pas simplement la nourriture et l'eau que les Nations Unies veulent contrôler. 


La vérité est que l'Organisation des Nations Unies est complètement obsédée par le nombre d'êtres humains vivant sur la planète.    


Dans un article récent dont le titre est "Resilient People, resilient planet: A Future Worth Choosing"les nations unies mettent en garde sur nos styles de vie qui impactent de manière insupportable et catastrophique le bien-être de la planète comme la croissance des populations. 

Mais que devons-nous faire alors pour créer une réelle différence pour les populations comme pour la planète? Nous devons saisir toutes les dimensions de ce défi. Nous devons reconnaître que les indicateurs de ce défi sont les modes de vie insupportables, la production et les modes de consommation et l'impact de la croissance de la population. Comme la population mondiale sera près des 9 milliards d'ici à 2040, et le nombre de consommateurs de la classe moyenne augmente de 3 milliards  sur les 20 prochaines années, la demande de ressources augmentera de façon exponentielle. 


En 2030, le monde aura besoin d'au moins 50% de plus en nourriture, 45% en énergie et 30% en eau ~ le tout à un moment où l'on atteint les limites environnementales en matière d'approvisionnement. Cela est vrai surtout pour le changement climatique qui affecte tous les aspects de la santé humaine et planétaire.


Actuellement, on nous dit constamment que le  problème vient du nombre de gens vivant sur la planète et que s'il y en avait  moins les choses iraient mieux. 


Les membres du gouvernement des États-Unis prêchent le même discours. 


L'autre jour, la secrétaire à la Santé Kathleen Sebelius a  proclamé publiquement une nouvelle exigence selon laquelle tous les régimes d'assurance couvraient la stérilisation et les contraceptifs, ce qui serait très avantageux pour les employeurs et les compagnies d'assurance santé, car elle signifie moins de naissances. 
(Ndt : voyez un peu où l'on veut en venir, d'autant que toute femme sait ce qu'il lui en coûte professionnellement lorsqu'elle part en congés maternité). 
  
Elle a fait valoir que les économies faites par le nombre de naissances qui serait donc décroissant compenserait largement les frais de stérilisations et contraceptifs. 


Les autres membres de l'administration Obama prêchent aussi le contrôle de la population. Ainsi la Secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a même déclaré que le contrôle de la population sera un "élément central" de la politique étrangère américaine à partir de maintenant.


Nous trouvons même cet amour de la mort à la Maison Blanche. Conseiller de Barack Obama pour les sciences, John P. Holdren, écrivit : 
«Un programme de stérilisation des femmes après leur deuxième ou troisième enfant, malgré la difficulté relativement plus élevé de l'opération que la vasectomie, pourrait être plus facile à mettre en œuvre que d'essayer de stériliser les hommes."
"Une capsule pour stériliser sur le long-terme pourrait aussi être développée et implantée sous la peau. Elle serait retirée lorsque une grossesse est désirée. Tout cela ouvre des possibilités supplémentaires pour contrôler la fertilité de manière contraignante. La capsule pourrait être implantée à la puberté, peut être "amovible" avec permission "officielle" et ce pour un nombre limité de naissances." 


(NdT) Voilà de nouvelles règles qui ressemblent fort à la Chine. Après l'Afrique qui fut le continent-cobaye, peut-être la Chine fut-elle le pays-continent cobaye pour le communisme, histoire de voir comment ça fonctionnait en "petit" avant de propager le pays-pilote au reste du monde. 


Dans l'Amérique d'aujourd'hui, la vie n'a plus de valeur, et c'est d'autant plus vrai si vous êtes "handicapé" ou si vous présentez des "imperfections", des "défauts". 
Dans un hôpital américain, il a été refusé une greffe de rein à une fillette de 3 ans nommée Amelia car elle était considérée comme «arriérée mentale». (NdTor nous savons ce qu'il en est des diagnostics des soi-disant maladies mentales)


Malheureusement, la société s'éloigne de plus en plus de l'idée selon laquelle la vie a de la valeur et mérite d'être préservée.


En fait, nombreux sont ceux qui appellent ouvertement à une réduction drastique de l'Humanité.

Le fondateur de CNN Ted Turner a même dit: 
«Une population totale de 250-300 millions de personnes, soit une baisse de 95% par rapport aux niveaux actuels, serait l'idéal."
(NdT: Le monde devient un endroit très cruel et inhumain et nous savons pourquoi puisqu'il est contrôlé par des individus qui sont tout sauf des humains (n'en ayant que l'apparence)). 

L'humanité n'est en effet une vermine qui ne mérite que d'être exterminée. 

Il y a également une proposition qui consiste à introduire des contraceptifs dans l'eau du robinet. 

Il y a aussi un projet de reconfiguration de l'être humain afin de combattre les changements climatiques. Il s'agit d'un chinois travaillant à l'université de New-York  qui est l'auteur de ce projet qui verrait les êtres humains devenir plus petits de taille, (eh oui, plus petits on consomme moins de tout !!)
Des yeux de chat seraient aussi parfaits pour avoir besoin de moins de lumière.  


Ce Matthew Liao parle aussi clairement d'un projet pharmacologique tendant à manipuler la volonté, l'empathie et l'altruisme via des drogues afin de manipuler les gens et obtenir le résultat désiré.           


Voilà à quels délires, nous en sommes !! 
Les gens qui prennent part à ces recherches sont devenus clairement les ennemis de l'Humanité; qu'ils soient manipulés par le Mind Control ou achetés par quelque argent et promesse de notoriété. 
Ce sont des ennemis au même titre que les juifs, leurs maitres qu'ils servent. La science est désormais totalement asservie.          


Source
http://snippits-and-slappits.blogspot.co.uk/2012/03/they-love-death.html

http://www.theatlantic.com/technology/archive/2012/03/how-engineering-the-human-body-could-combat-climate-change/253981/