Le texte qui suit vient du blog National, Social et Radical
Il illustre parfaitement ce que j'appelle l'infiltration juive systématique. Il apparaît plus que jamais que l'élection présidentielle 2012 est un enjeu capital.
Aussi, il me semble important de porter une attention toute particulière au candidat auquel vous allez transférer votre pouvoir personnel juridiquement.
Il est évident que les deux candidats UMP et PS sont à éviter, pour ne pas dire fuir, puisqu'ils prônent et soutiennent ouvertement le Nouvel Ordre Mondial. Si Sarkozy est remonté en selle, c'est surtout pour contrer MARINE LE PEN.
Une Marine Le Pen qui parait être lourdement infiltrée...
Quant aux autres "petits candidats", à fuir aussi !! Alors où se situe vraiment le choix ??
Aux sources du Front National - Sioniste : Jean-Richard Sulzer
Le soutien extérieur du système à Marine Le Pen ne doit pas faire oublier comment ce qui fut le mouvement national a été noyauté de l’intérieur. À ce titre l’arrivée et l’accession à des postes majeurs de personnes telles que Jean-Richard Sulzer sont exemplaires.
Né le 22 août 1947 à Besançon, Jean-Richard Sulzer habite à Neuilly-sur-Seine, l’une des communes les plus riches de France, très courue par la communauté israélite dont il est lui-même issu. C’est dans cette ville, fief des Sarközy-Sebaoun où il prit sa carte de l’UMP.
Marié et père de deux enfants, il est professeur de gestion à l’Université Paris-Dauphine. Expert en finances d’entreprise et en finances publiques, il a publié divers ouvrages consacrés essentiellement à ce domaine de la finance.
Homme du régime, il a été "honoré", entre autres, des titres de chevalier dans l’Ordre National du Mérite, chevalier des Palmes Académiques ; il a reçu la médaille d’Argent de la Ville de Paris (pour d’évidentes raisons) et la médaille de Bronze de la Jeunesse et des Sports. Bruno Gollnisch, universitaire d’un tout autre niveau, n’a jamais obtenu la moindre récompense du système...
Au-delà d'un parcours politique d'apparence chaotique (des centristes au vote Mitterrand, de l'UMP de Chirac au néo-FN de Marine Le Pen), les grandes lignes d'un engagement apparaissent, celles de la défense d'une République maçonnique irrémédiablement ennemie dela France par l'alliance entre la droite libéraliste et conservatrice et l'extrême droite sionisée et débarrassée de tous ses éléments nationalistes.
Des convictions politiques au gré des vents dominants
Jean-Richard Sulzer a rejoint tardivement le Front national après de nombreux revirements. Ses opinions politiques n’ont jamais été très affirmées : en 1988, il vote François Mitterrand au nom, c’est lui qui le dit, « de l'ouverture et de la "France Unie" »[1]. Propos surprenant dans la bouche d’un universitaire qui ajoute de surcroit, un an après la mort – et quatorze année de règne – du "Pharaon" : « homme de pouvoir, François Mitterrand restait encore un mystère pour la plupart de celles et ceux qui votèrent pour lui »[2].
L’État déplorable de la France comme les multiples scandales ayant éclaboussé la longue vie et deux septennats de François Mitterrand ne laissaient subsister aucun "mystère". Avant de voter à gauche, le cœur de Sulzer a balancé à droite – mais pas beaucoup. Il évolua dans les cabinets de Jacques Duhamel et Edgar Faure[3] – le ministre de l'Education nationale qui s’inspira des revendications de Daniel Cohn-Bendit et des "juifs-rouges" pour en faire la loi de modernisation de l'Université après Mai 68. Il est par la suite l’un des collaborateurs de Jean-Pierre Soisson, centriste ultra-libéral[4][5].
Centriste sous les centristes, mitterrandien sous Mitterrand, Jean-Richard Sulzer se tourne avec un un prodigieux sens de l’opportunité vers les libéraux-conservateurs après la victoire de Jacques Chirac. Est-ce le financier ou celui qui aspire à briller au firmament de la peopolitique qui, la quarantaine passée, se retrouve dans la sphère du concussionnaire Nicolas Miguet[6] ? Il participe avec le président du RCF à plusieurs numéros du Quotidien de Paris. Sur l’un des sites boursiers de Nicolas Miguet), Sulzer écrit (sous la direction de Nicolas Miguet) la chronique dithyrambique d'un livre de... Nicolas Miguet[7]...
Au fondement de l’UMP
Centriste, mitterrandiste, miguetiste, Richard Sulzer reste un libéral. Il devient membre de l’Association des amis de Jacques Chirac (présidée par un autre juif, Bernard Pons [8]) et figure parmi les membres-fondateurs de l’UEM (Union en mouvement). Ce parti chiraquien totalement oublié n’est autre que l’ancêtre de l’Union pour la majorité présidentielle, devenue l’Union pour un mouvement populaire, mieux connue sous l’acronyme UMP, mouvement né sous le "haut" patronage de Chirac et Sarközy.
L’UEM a été créée par Jérôme Monod[9], avec pour président Renaud Dutreil[10]. On y retrouve Philippe Douste-Blazy[11], Dominique Perben – opposant de Bruno Gollnisch à Lyon – ou encore le corrompu François Léotard (entre autres).
Partisan de l’union des droites libérales, sionistes et conservatrices jusqu’à au moins 2002, Sulzer se rapproche alors du Front national. On l’y retrouve dès 2004 ; à peine arrivé, il obtient une place sur la liste du Front national aux élections européennes [12] alors même qu’il n’est pas adhérent.
La première grande opération de Marine Le Pen, la campagne présidentielle de 2007, se traduit par le plus cinglant échec de l’histoire du Front national. Sans ligne doctrinale, sans cadres, sans programme, le parti perd un million d’électeur.
Marine Le Pen, directrice de la désastreuse campagne de 2007[13] avait confié à Sulzer le soin de rédiger le programme économique pour les ultimes élections présidentielles de Jean-Marie Le Pen. Étonnant choix puisque Sulzer a adhéré au Front national... en 2007. Entre le nommé responsable du volet économique et sa chef, les couacs se multiplient sur fond d’incohérence programmatique et d’improvisation permanente.
C’est même de la schizophrénie quand, dans le propre journal de Marine Le Pen, L’Aviso[14] [15], Sulzer affirme :
" Il serait désastreux que nous sortions de l'Europe que nous sortions de l'Europe du traité de Rome. En revanche, il serait temps de revenir à l'Europe telle qu'elle fut conçue par ses fondateurs." [16]
quand Marine Le Pen déclare :
"L'Union européenne est un système vicié à la base."
L’ombre de la maçonnerie
Cet entretien de Jean-Richard Sulzer à L’Aviso révèle bien des surprises et recèle bien des "mystères". La fin de l’article mérite d’être cité en intégralité, notamment la partie où Sulzer fait mention aussi clairement que possible de son appartenance maçonnique. Il faut noter une fois encore la schizophrénie de la tribu Marine : que dire en effet des viles attaques de Marine Le Pen et de ses spadassins contre Bruno Gollnisch – déformants fielleusement les propos de ce dernier quant à l’UMP [18] – quand Jean-Richard Sulzer déclarait, lui, noir sur blanc dans le journal de Marine Le Pen, que la stratégie de cette dernière n’a d’autre but que l’alliance avec les conservateurs-libéraux ?
(Audrey Guibert pour l’Aviso :) Croyez-vous cependant que la courtoisie qui régit les relations entre le groupe UMP, présidée par Jean-Pierre Soisson, et celui du Front national, présidé par Pierre Jaboulet-Vercherre, puisse être exportée ?
Pour ce qui est des alliances, je vous rappelle qu’entre 1998 et 2004, le mode de scrutin a changé. Les élections régionales comportent deux tours, avec une prime majoritaire. S’il peut y avoir un accord UMP/FN [on notera l’ordre], il devra se faire clairement par fusion de liste entre les deux tours. [...] si les listes UMP ne fusionnent pas, de très nombreuses régions risquent de passer à gauche ou de le rester. Il faut que les deux formations politiques prennent des positions claires, sinon au soir du 28 mars 2004, la France sera rose. Je vous rappelle qu’une telle bérézina aux élections locales est souvent annonciatrice de graves revers au niveau national.
Question : Est-ce que la dédiabolisation du Front national constitue un préalable à un tel accord ? Et comment Marine Le Pen peut-elle y contribuer ?
On ne diabolise souvent que par opportunité [sic]. [...] Par sa personnalité, Marine le Pen peut contribuer à dédiaboliser le FN. Mais de toute façon, la gauche aura toujours intérêt à diaboliser le Front national. La vraie difficulté, et c’est à ce titre que l’exemple bourguignon est intéressant, est que la droite parlementaire et la droite nationale puisse trouver les bases d’un plan. Ceci ne devrait pas être sorcier si chacun veut bien y mettre du sien. Il n’est pas question d’aligner totalement les programmes. Un accord consisterait pour chaque région à définir les priorités de bon sens qui s’imposent. Il s’agit d’élections locales. Personne n’exigera que l’une des deux grandes formations politiques soit le clone de l’autre.
Question : Comment conciliez-vous ce souhait de voir la droite parlementaire nouer des accords avec la droite nationale [sic] avec votre engagement philosophique qui n’est un mystère pour personne ?
Parlons clair [rigoureusement sic] : je ne suis pas seul dans ce cas. Certains peuvent le révéler, d’autres non. Si je venais à trahir des secrets, ce que je ne ferai pas, vous seriez étonné. Je cultive effectivement une philosophie de la tolérance réciproque. Il faut écouter et savoir écouter l’autre, et percevoir les évolutions respectives. Il me semble que ni la droite nationale, ni les obédiences philosophiques ne prospéreraient grandement, et c’est un euphémisme, si les fondamentalismes islamiques venaient à prendre le contrôle de tout ou partie des leviers de commander du territoire français et européen, ou à gommer les acquis de notre [rigoureusement sic] civilisation.
Qui sont donc ces mystérieux autres francs-maçons qui œuvrent pour l’unité de la droite libéraliste avec le Front national ? A quelles loges fait-il allusion ? Au sein du Front national, en bon frère maçon, Sulzer a sans doute tenté de mettre sur pied une loge pour y recruter du personnel comme Jean-Michel Dubois, Me Wallerand de Saint-Just ou Louis Aliot.
Alors qu’il n’est même pas membre du FN, Jean-Richard Sulzer acquiert une influence primordiale, signant même des communiqués au nom d’un parti dont il n’est pas encore membre selon sa biographie officielle.
Conseiller et proche de Marine Le Pen
Comme Marine Le Pen, il ne dédaigne pas les sinécures électorales : Jean-Richard Sulzer, au mépris de ses (rares) électeurs parisiens, a été parachuté au conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, alors même qu’en 2008 il était tête de liste à Paris. Il réussit l’exploit d’être secrétaire du groupe FN au conseil régional d’Ile-de-France et candidat à celui du Nord-Pas-de-Calais. La République des déracinés...
Dans le Nord, il est désormais le fidèle paillasson de sa consœur en parachutage. Dans un passage télévisé, Jean-Richard Sulzer y déploie sa haute culture historique – qui n’a jamais entendu parler des célèbres déplacements sportif à Berlin en 1933 ? – et ses méthodes, directement héritées de son passage à l’UMP et dans la maçonnerie.
Richard Sulzer et Marine Le Pen – faute de pouvoir imposer le respect – se servent du conseil régional comme d’un terrain de jeu : extrait d’un reportage réalisé par R. Cohen pour M6 et diffusé il y a quelques mois :
Républicanisme, sionisme et laïcité
Sauver la République maçonnique en manipulant la droite nationale, l’objectif est clairement établi. Pour le réaliser, le discours est clair : islamophobie, république, sionisme et laïcité. Jean-Richard Sulzer le distille au moyen d’une association, SOS Égalité.
La “laïcité” est le nouveau cheval de bataille de Marine Le Pen ; la “défense de la laïcité” est l’argument massue pour justifier ses prises de positions contre le seul islam radical au détriment d’attaques légitimes contre les politiques migratoires ou la République. Un autre exemple de ce nouveau discours – longtemps le concept même de laïcité était ignoré au Front – a eu lieu lors de l’émission télé “17 h politique”, dimanche 6 décembre 2010 sur I-télé. Marine Le Pen y a en effet déclaré, alors qu’elle condamnait “la discrimination positive”, “soutenir l’association SOS Egalité”. Soutien réaffirmé ensuite dans un communiqué de presse. Cette association est pourtant totalement inactive[19].
Comme une association maçonnique, SOS Égalité défend « l’égalité en droits des citoyens français, conformément aux principes de la République française. Elle lutte pour cela contre le communautarisme et les actions qui visent à remettre en cause cette égalité. » L’association a été créée en janvier 2010 ; à l’image de toutes les associations-fantômes qui font florès dans les milieux nationaux-sionistes ces dernières années elle n'est qu'une coquille vide. Elle développe les mêmes positions républicaines maçonniques que Marine Le Pen [20] : Assimilation, métissage, anti-communautarisme, maçonnisme : tout est résumé :
Défendant, le “mérite” plutôt que “la couleur de peau”, SOS Egalité se pique même de rendre hommage à une “École républicaine” à la dérive… La récupération des symboles de l’ennemi, en politique, n’a jamais fini que par une chose : l’intégration des idées de l’ennemi. Le cas d’un sioniste venu du RPR est évidemment bien différent puisqu’il est ennemi. Et lors de son discours fondateur, Marine Le Pen a en tout point été conforme aux aspirations de Jean-Richard Sulzer.
L’attachement au système qui détruit la France est explicite : la bannière du site fait référence et à Marianne et à la Constitution de la Ve République – mots, images et écriture rappelant fortement celle du groupuscule d’Alain Soral.
Les liens entre les deux associations républicaines, laïcardes et assimilationnistes ne s’arrêtent pas là : dans le numéro de décembre [21] du journal dénommé Flash, le nom de Jean-Richard Sulzer voisine avec ceux d’autres opportunistes, de Philippe Randa à la famille Bouchet (Christian et Gauthier) et Alain Soral.
Juif avant-tout
Opportuniste, républicain et franc-maçon, Jean-Richard Sulzer est très attaché à sa judéité. C’est en qualité de juif qu’il participe en 2006 à une manifestation sioniste organisée en la mémoire d’un étranger assassiné par d’autres étrangers pour de l’argent. Sa sécurité sera organisée pour l’occasion par l’organisation terroriste juive LDJ [22] qui entretient d’importantes relations avec l’entourage de Marine Le Pen. Elle-même s’était félicitée de cette participation (« L'important, c'est qu'il y ait une participation symbolique du FN ») ; alors que le pourtant très sioniste Philippe De Villiers avait été conspué par les extrémistes juifs, l’agent d’Israël Sulzer avait été parfaitement bien traité, accueilli et protégé par le service d’ordre [23].
En mars 2011,il faut publier un nouveau communiqué [24], écrit en qualité de Juif, qui se termine ainsi :
« Les organisations juives de France méritent une meilleure image ; et tout ce remue-ménage ne peut que nuire à l’image de tous nos coreligionnaires.
Quelques agitateurs et agités irresponsables viennent de nuire gravement à l’image de nos coreligionnaires au sein de la Nation française.
Jean Richard Sulzer, Juif ! »
Le même qui affirme – sans apporter la moindre précision – avoir « perdu une partie de ma famille lors des persécutions antisémites et dans les "camps de la mort" de cette terrible période » n'hésitent pas à recourir, en bon agent du système, un spécialiste de la reductio ad hitlerum :
« Si le programme de Marine Le Pen ne ressemble évidemment en rien au programme d’Hitler, en revanche ce tissu d’âneries relève lui bel et bien des procédés hérités de la propagande de Goebbels ! »
Jean-Richard Sulzer prétend combattre le communautarisme musulman et l’intégration. Cela ne pose aucun problème de conscience à cet étranger de dénoncer le hallal mais de se réjouir que ses propres ancêtres, refusant de s’intégrer, se soient fait tenancier d’un restaurant utilisant les monstrueuses méthode d’abattage rituel juif "casher" [25]..
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