mardi 5 juin 2012

Chapitre 8 - Une pierre à la place du coeur


Un premier indice qui démontre que les juifs mènent le monde est la déshumanisation croissante de notre société qui ne fait plus aucun sentiment pour rien ni pour personne - il n'y a que l'argent qui compte - curieusement comme les juifs !  

L'UNITÉ À TOUT PRIX, QUELQU'EN SOIT LE PRIX!

Le premier des constats, si douloureux depuis ma plus tendre enfance, fut l’absence totale d’émotions et de sentiments de la part de mes parents. 
Jamais de vrais bisous, jamais de vrais câlins, jamais ! Aucune chaleur !   
J’avais autour de moi des gens froids que rien ne pouvait attendrir. Lorsque j'étais petite et en demande de tendresse, d'attention, de douceur,  je ne recevais que des bises vides et froides, si j'insistais, j'étais rudoyée. 
Lorsque plus tard, je tentais de faire intervenir leurs sentiments, leur compassion, je n'y arrivais jamais. Même dans des situations extrêmes, ils étaient de marbre et  n’avaient aucune pitié. Ils n’accédaient à une demande que s’ils avaient un intérêt à le faire. S’ils jugeaient pour x raisons, qu’ils n’en retiraient rien, ils refusaient.

Or lorsque je rompis professionnellement avec eux, je commis un acte répréhensible qui venait s’ajouter à la longue liste qui me définissait déjà comme "ayant un tempérament difficile avec des idées bizarres dans la tête". Cette rupture m’amena progressivement vers la sortie du clan, de la famille, de la communauté. C’est ce que je désirais mais eux de leur côté prirent cette décision comme une trahison, ce qui est bien la pire chose à commettre dans cette religion.
En conséquence, non seulement, je perdis leur soutien aussi minime fut-il, mais je représentais désormais un danger.  
Peu importe que ce soit leur comportement envers moi qui ait généré au fil des années cette rupture. De leur point de vue, tout était de ma faute et il n’existe pas dans la communauté juive un fonctionnement tel qu’on peut le connaître avec la justice où au moins les torts des deux parties sont examinés contradictoirement afin de prendre la décision la plus juste possible qui s'imposerait naturellement. (Bien que ce ne soit pas non plus le cas de la justice).
Chez nous, les décisions sont unilatérales et la seule règle est de se plier aux exigences des aînés pour avoir la paix.... et l’argent.
Cette loi est valable pour tout, même les choses les plus anodines.
Voici une anecdote à titre d’exemple :
Un de mes cousins germains avait dit à sa soeur qu’il ne se rendrait pas avec femme et enfants à la fête qu’elle organisait. Elle habitait à l’autre bout du monde, ce qui signifiait près de trente heures d’avion et un prix élevé. La soeur en parla à leur père qui intima l’ordre à son fils de se rendre à ladite fête. Mon cousin avait plus de cinquante ans lorsque cet évènement eut lieu. Il n’était pas question que la famille ne soit pas réunie pour témoigner de sa merveilleuse réussite. Mon cousin n’eut qu’à s’exécuter d’autant que sa situation financière avait toujours été instable et qu’il avait besoin pour maintenir son niveau de vie de l’argent de sa famille. Il n'eut donc d'autre choix que d'obéir !

Dans la communauté juive, il n’est pas question de sentiments, il n'est question que d’intérêts. Plus vous les servez, plus vous êtes "aimé", ce qui veut dire honoré, récompensé et soutenu.  
Et servir la communauté signifie acquérir pouvoir et puissance sur le monde extérieur pour dominer les goys.    
Je fus éduquée selon le principe que seul, l’argent compte car il apporte ce pouvoir.
En faisant partie de la famille, je participais au maintien de la cohésion du clan et en retour, j'avais droit au minimum pour faire illusion. Ce qui se passait ensuite à l'intérieur était une autre histoire et ne devait jamais rejaillir sur l'extérieur. Aussi mon niveau de vie visible extérieurement témoignait de cette solidarité.

Chez les juifs, les décisions sont toujours prises de manière à aider l’autre à régler son problème afin que la famille, la communauté soit protégée de toute critique ou mauvaise publicité extérieure..... et de toute fuite.
Aussi, la première règle enseignée est de posséder des biens et de l’argent, le plus possible et par tous les moyens. Si un des membres de la communauté faillit pour quelque raison que ce soit, il est soutenu pour protéger la famille vis-à-vis de l’extérieur mais à l’intérieur, il est plus ou moins "mal-aimé", malmené voire  rabaissé selon les cas. S’il est soumis et ne pose pas d’autre problème que de ne pas bien réussir socialement, il ne sera pas honoré mais par contre épargné de problèmes plus graves, tandis que si ce n’est pas le cas, il peut s’attendre au pire.  

Les juifs savent parfaitement que la force réside dans l'unité, dans une cohésion forte et puissante qui ne laisse rien passer, aucune faille. Ainsi, la structure, l'organisation même de la religion juive repose sur le principe inflexible de solidarité dans le sens loyauté à la religion.

Et, ils vont utiliser l'exact opposé pour anéantir l'ennemi, le goy. C'est la raison pour laquelle, notre société au niveau mondial est organisée en multitudes de clans qui s'opposent sur tous les fronts (dont la politique et la religion sont les plus importants et les plus sensibles puisque à la base de tout le reste).
Ce fut l'unique raison d'être de la démocratie ! Elle permettait le déploiement de toute une palette d'idées et de choix et fut le bras armé du "DIVISER POUR MIEUX RÉGNER". 
Maintenant, nous sommes dans la phase de recadrage qui transforme la démocratie en totalitarisme. 
Chacun dans sa boîte défend ses idées et passe son temps à se déchirer avec son pseudo adversaire. Ces dissensions anéantissent l'unité des goys, par conséquent leur force et leur puissance contre leur véritable ennemi puisqu'ils ne réalisent pas la stratégie machiavélique mise en place contre eux. 
Au lieu de cela, ils passent leur temps et dépensent leurs énergies à s'affaiblir et à se détruire mutuellement alors que l'ennemi, le vrai, l'ultime est ailleurs.Tout la stratégie juive a été pensée de manière à ce que les non-juifs s'auto-détruisent entre eux.
Cette tactique a l'énorme avantage de détourner la responsabilité des vrais coupables sur les opposants eux-mêmes.   

LE COEUR

Au cours de mon adolescence, grâce aux vacances que je passais avec le Bnai Brith ou l’Agence Juive, je rencontrais d’autres jeunes juifs de mon âge issus de grandes familles d'intellectuels ashkénazes.
J’étais très attirée par eux car je cherchais à m’élever au dessus du niveau des miens que j’estimais limité. Je les fréquentais pendant des années, certains jusqu’à mon mariage, d’autres jusqu'à, il y a peu de temps encore. Leur éducation était encore plus austère, sans aucune chaleur. La seule différence était que ce furent les capacités intellectuelles qui les firent accéder au pouvoir et à l’argent.
Les principes de soumission à la famille étaient identiques et je les trouvais finalement encore moins ouverts que chez moi.
Les juifs ont, comme tous les êtres humains, un coeur mais chez eux cet organe ne possède que la fonction mécanique: battre pour garder le corps en vie.
Leur coeur est dénué de tout sentiment et de toute émotion "humaine" positive et bienveillante tel qu'on le définit dans notre monde car si effectivement un être humain "normal" peut faire le choix d'agir positivement ou négativement, les juifs n'ont pas ce choix.
La manière dont ils sont conçus en fait des individus profondément mauvais habités de vibrations basses des plus abjectes avec toute la panoplie des comportements qui vont avec. Ils se nourrissent constamment de la souffrance et de la peur des humains qu'ils parasitent.

Voilà pourquoi la peur est savamment entretenue et nourrie par notre société car si elle donne plus de force et de puissance aux juifs, elle sape et diminue considérablement le potentiel des goys.
Ce constat que je faisais déjà enfant, continua de se renforcer au fil des ans et plus encore lorsque je sortis de cette communauté. 
Les juifs n’ont pas de coeur comme ils n’ont ni âme ni conscience, tout étant lié.
Pour eux la notion de bien et de mal n’existe pas. C’est d’ailleurs un concept qu’ils ont inventé à l'intention des goys, s'inspirant du principe primordial du yin et du yang, du jour et de la nuit, de l'ombre et de la lumière pour infester l'esprit humain, comme bien d’autres concepts authentiques volés et corrompus par leurs soins pour nous "brainwasher", prendre le contrôle de nos esprits afin d'atteindre leur effroyable objectif final. 

L'EMOTION COMME OUTIL

Aussi, ils sont passés maîtres dans l'art d'utiliser la palette d'émotions pour façonner l'esprit humain.
Il y a eu plusieurs phases, et nous sommes dans l'ultime qui met tous les moyens en oeuvre pour nous réduire à l'état d' esclave-robot.    
Ce fut un travail de longue haleine qui commença il y a maintenant plus deux mille ans et dans ce laps de temps, ils sont arrivés à modifier de fond en comble le psychisme humain et nous verrons plus loin comment cela a pu être possible et où  nous en sommes aujourd'hui.   
Tout d'abord, ils connaissent parfaitement la psychologie. Tous les "grands" psychologues, psychiatres, behavioristes sont juifs. Ils ont donc eu tout le loisir d'étudier et de procéder à de mutiples expériences dont les conclusions ont été transmises à la communauté afin que chacun  puisse en bénéficier dans son propre domaine professionnel.            
Ils jouent sur la corde sensible "émotion" pour faire passer les messages au niveau conscient et subliminal afin de reprogrammer l'esprit goy. 

LE CINÉMA

Un de leurs outils les plus puissants est le cinéma. (Or il est bien connu qu'Hollywood est dominé, contrôlé par les juifs)       
Pourquoi ?
Parce que le cinéma est un divertissement. Il faut savoir que lorsque nous sommes à la fin d'une journée plus ou moins épuisante devant un film ou un épisode de notre feuilleton préféré en dvd, notre conscience est plus vulnérable donc plus réceptive  que pendant les heures de travail, notre volonté d'action en est affaiblie voire totalement éclipsée.
Nous sommes en train de nous détendre, de nous relaxer, notre activité cérébrale s'en trouve instantanément modifiée, ralentie en quelque sorte. Nous sommes passés de la fréquence d'onde bêta, celle des activités courantes à la fréquence alpha, relaxation légère, éveil calme.

Notre cerveau à ce moment là imprime profondèment et durablement les messages que l'on veut nous faire passer. Il peut absorber une multitude d'informations dont nous aurons à peine conscience.
Aussi quel merveilleux outil pour nous programmer sur : 
  • ce que nous devons penser
  • ce que nous devons croire ou ne pas croire, 
  • ce dont nous devons avoir peur ou pas
  • ce dont nous devons nous tenir éloignés à tout prix
  • les choix que nous devons faire.


La peur est l'ingrédient numéro 1 pour baliser le chemin et ainsi nous montrer les choix "sûrs". 
Pour ce faire, différentes tactiques sont déployées à grand renfort de scénarios divers et variés via des histoires aux situations traumatisantes, effrayantes. 

Mais Hollywood va plus loin encore en nous habituant à l'idée.... d'évènements qui auront lieu quelques temps plus tard. 
Prenez par exemple, la série 24 heures avec Jack Bauer, série mondialement connue qui nous a informée en avant première de l'arrivée prochaine d'un président noir aux  Etats-Unis. 
Aussi lorsque le moment fut venu de promouvoir les candidats, les Américains le plus naturellement du monde étaient programmés pour choisir Obama. 
C'est ma même chose pour la sécurité et le terrorisme qui sert de support fallacieux à la montée en puissance du Homeland Security , comme par hasard exactement à l'image de ce qui se déroule actuellement aux Etats-Unis. 

Il est important d'avoir une autre lecture des séries américaines et de tous les  films en général car cela donne beaucoup d'informations sur leur stratégie
....... dont notamment la science fiction qui n'est fiction en rien. 
Affaire à suivre !   

LA RELATION AU CORPS

Toujours dans le même registre, très tôt, je remarquais combien les juifs ne sont pas à l'aise avec leur corps.
Leur force, leur atout majeur est l'intellect. Ils ont un quotient intellectuel élevé bien au dessus de la moyenne (environ 135).
Mais leur tournure d'esprit, tordue, est difficile voire impossible à appréhender pour un non juif qui lui est doté d'un mental droit et franc, de conscience, de coeur et de compassion.   

Quant au corps, c’est une autre histoire. Ils n'ont pas le gôut, ni de facilité d'ailleurs, pour le sport ou les activités physiques.
Lorsqu'ils les pratiquent, c'est souvent parce que leur position sociale les y oblige.
Moi la première ai toujours fui les sports. A l'école, j'ai passé ma scolarité à me faire dispenser tellement je détestais la gym ! Plus tard, le seul sport que j'aimais pratiquer fut le ski car j'adore la montagne et les grands espaces. J'aime aussi nager, quant au reste, il me faut faire une effort surhumain pour m'y astreindre.
Il n'y a qu'à Miami où j'ai vraiment pris plaisir à en faire et parce que les conditions étaient plus qu'idylliques !
Dans ma famille, personne n'a jamais fait de sport à part un de mes cousins qui jouait au football. Autrement, ce sont des passades mais rien de sérieux et durable.               
La religion nous apprend à utiliser et développer surtout notre esprit. Et nous verrons que la tournure d'esprit retors et l'argumentation tordue sont à la base de l'enseignement du Talmud.